Leprintemps ressuscite et redonne vie, cha­ leur, lumiĂšre. FĂ©lix (de son grand nom) Leclerc (de son petit nom) a fait du printemps une ‱-3 tr-1 >< figure paradigmatique de son Ɠuvre. Le printemps y apparaĂźt comme l'envers (et le rĂ©el) des chose d'hivers sou. s tant Printemps paradigme, printemps paradis. Sa fameuse chanson Chantait chantait une chanson Que rĂ©pĂ©taient deux autres compagnons Marjolaine, toi si jolie Marjolaine, le printemps fleurit Marjolaine, j’étais soldat Mais aujourd’hui Je reviens prĂšs de toi Tu m’avais dit : "Je t’attendrai" Je t’avais dit: "Je reviendrai" J’étais parti encore enfant Suis revenu un homme maintenant Lesecond single est Waves ! SOURCE Changement de programme ! Le second singles est finalement SimpleThings. Le titre sera envoyĂ© aux radios urbaines le 1er Septembre. Lprintemps on dit qu'ça sent la rose Le lilas et puis le jasmin Pour moi l'printemps ça sent aut'chose Puisqu'on cure la tonne Ă  purin. Finis d'faire la cour aux fumelles Les soirs d'hiver Ă  la veillĂ©e L'printemps fait gonfler les mamelles C'est celles des vaches qu'il faut tirer. Ouais, vieux ! Isabelle ! Tiens bon l'taureau ! J'amĂšne Ajoutde la chanson «Tu m'avais dit» (Alice et Moi) ÉcoutezTu M'avais Dit de Pascal Obispo, 39,368 Shazams. DĂ©couvert grĂące Ă  Shazam, l'application de dĂ©couverte musicale. Tu M'avais Dit - Pascal Obispo | Shazam LDxTt. Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR YAHASRA NOS CHANSONS CHOUCHOU HIER ET AUJOURD'HUI +14La fleur du desertrebecca bittonMoris Dadonlaura1501elianeHannahsamuel azerraftanjaouiReina AlfonsoCharlykakySoly Anidjarmomo le berahnanouche18 participantsAller Ă  la page 1, 2, 3, 4, 5 AuteurMessagenanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Dim 6 Mai 2007 - 2321 Johnny Hallyday Retiens la nuit Paroles Charles Aznavour. Musique Georges Garvarentz 1962{Refrain}Retiens la nuitPour nous deux jusqu'Ă  la fin du mondeRetiens la nuitPour nos cƓurs dans sa course vagabondeSerre-moi fort contre ton corpsIl faut qu'Ă  l'heure des foliesLe grand amour raye le jourEt nous fasse oublier la la nuitAvec toi, elle parait si belleRetiens la nuitMon amour, qu'elle devienne Ă©ternellePour le bonheur de nos deux cƓursArrĂȘte le temps et les heuresJe t'en supplie Ă  l'infiniRetiens la me demande pas d'oĂč me vient ma tristesseNe me demande pas, tu ne comprendrais dĂ©couvrant l'amour je frĂŽle la dĂ©tresseEn croyant au bonheur, la peur entre en mes joies.{Refrain} momo le berahNombre de messages 88Age 82Date d'inscription 27/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 749 Celia brabo alik ya benti, je suis un fan dial Johnny, continues, pour que les nouvelles generation soient en contact avec ce qu'on a baisersJohnny HallydayAime-moiComme je t'aimeSi tu veux bien me laisser fairePendant une journĂ©e entiĂšreJe suis capable pour te plaireDe te donner 24000 baisersJe prends des paris Ă  la rondeSans perdre plus de dix secondesJe promets devant tout le mondeDe te donner 24000 baisersJe ne sais pas ce qui ce passeVois-tu chĂ©rie plus je t'embrassePlus j'ai envie de t'embrasserJ'aime assez ça quand tu m'enlaceEt comme je ne suis pas de glaceJe ne laisserais pas ma placeQuand je te donne 24000 baisersJe fais un trait toutes les demi-heuresJ'en suis au moins Ă  huit cent milleEt je ne peux pas m'arrĂȘterJe prends des paris Ă  la rondeSans perdre plus de dix secondesJe promets devant tout le mondeDe te donner 24000 baisersEt lorsqu'une fois centenaireIl me faudra quitter la terreSans mĂȘme faire une priĂšreJe suis bien certain que Saint-PierreEn me voyant toujours sincĂšreMe permettra de t'embrasserTout le temps de l' vous ecouterais lzine dialna Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 844 Merci ma chere petite Celia, je creve pour Johnny, il m'a aide de passer d'enfant a femme, une etape tres tres dure, ou on decouvre les premiers emois, les premiers petits flirts...............ou papa ne nous permet plus de sortir car on a pris des rondeur, ou on doit se maquiller en secret, et on enleve ce maquillage avec un mouchoir et de la salive, et on frotte les yeux jusqu'a nous faire mal, alors on devient rebelle, car plus rien nous ait permis, et les claques sur la joue si on repond mal...................voici une chanson que j'adore HallydayQue je t'aimeParoles Gilles Thibaut. Musique Jean Renard 1969Quand tes cheveux s' Ă©talentComme un soleil d' Ă©tĂ©Et que ton oreillerRessemble aux champs de blĂ©Quand l'ombre et la lumiĂšredessinent sur ton corpsDes montagnes des forĂȘtsEt des Ăźles aux trĂ©sorsQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aime,Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !Quand ta bouche se fait douceQuand ton corps se fait durQuand le ciel de tes yeuxD'un seul coup n'est plus pĂ»rQuand tes mains voudraient bienQuand tes doigts n'osent pasQuand ta pudeur dit nonD' une toute petite voixQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aime,Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !Quand tu n'te sens plus chatteEt que tu deviens chienneEt qu'Ă  l'appel du loupTu brises enfin tes chaĂźnesQuand ton premier soupirSe finit dans un criQuand c'est moi qui dis nonQuand c'est toi qui dit ouiQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aime,Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !Quand mon corps sur ton corpsLourd comme un cheval mortNe sait pas ne sait plusS' il existe encoreQuand on a fait l'AmourComme d'autres font la guerreQuand c'est moi le soldatQui meure et qui la perdQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aime,Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime ! nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 925 Gall - PoupĂ©e de cire poupĂ©e de son Paroles Je suis une poupĂ©e de cire, une poupĂ©e de son Mon cƓur est gravĂ© dans mes chansons PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son Suis-je meilleure, suis-je pire qu'une poupĂ©e de salon? Je vois la vie en rose bonbon PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son Mes disques sont un miroir dans lequel chacun peut me voir Je suis partout Ă  la fois brisĂ©e en mille Ă©clats de voix Autour de moi, j'entends rire les poupĂ©es de chiffon Celles qui dansent sur mes chansons PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son Elles se laissent sĂ©duire pour un oui, pour un non L'amour n'est pas que dans les chansons PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son Mes disques sont un miroir dans lequel chacun peut me voir Je suis partout Ă  la fois brisĂ©e en mille Ă©clats de voix Seule parfois je soupire, je me dis "À quoi bon "Chanter ainsi l'amour sans raison "Sans rien connaĂźtre des garçons?" Je n'suis qu'une poupĂ©e de cire, qu'une poupĂ©e de son Sous le soleil de mes cheveux blonds PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son Mais un jour je vivrai mes chansons PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son Sans craindre la chaleur des garçons PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son. Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1211 cliquez pour ecouter Francoise Hardy Tous les garçons et les filles, comme si c'etait hier quelle nostalgie, merci ma celia pour nous avoir ouvert cette petite porte de bonheur, je me vois assise sur mon lit, le pick-up full volume,rue Pierre Parent quartier La Fonciere, j'ai 15 ans et le monde m'appartient............ Tous les Garçons et les Filles Françoise Hardy Tous les garçons et les filles de mon Ăąge Se promĂšnent dans la rue deux par deux Tous les garçons et les filles de mon Ăąge Savent bien ce que c'est qu'ĂȘtre heureux Et les yeux dans les yeux Et la main dans la main Ils s'en vont amoureux Sans peur du lendemain Oui mais moi, je vais seule Par les rues, l'Ăąme en peine Oui mais moi, je vais seule Car personne ne m'aime. Mes jours comme mes nuits Sont en tous points pareils Sans joie et pleins d'ennui Personne ne murmure je t'aime» Ă  mon oreille Tous les garçons et les filles de mon Ăąge Font ensemble des projets d'avenir Tous les garçons et les filles de mon Ăąge Savent trĂšs bien ce qu'aimer veut dire Et les yeux dans les yeux Et la main dans la main Ils s'en vont amoureux Sans peur du lendemain Oui mais moi, je vais seule Par les rues, l'Ăąme en peine Oui mais moi, je vais seule Car personne ne m'aime. Mes jours comme mes nuits Sont en tous points pareils Sans joie et pleins d'ennui Oh! quand donc pour moi brillera le soleil? Comme les garçons et les filles de mon Ăąge ConnaĂźtrai-je bientĂŽt ce qu'est l'amour? Comme les garçons et les filles de mon Ăąge Je me demande quand viendra le jour OĂč les yeux dans ses yeux Et la main dans sa main J'aurai le coeur heureux Sans peur du lendemain Le jour oĂč je n'aurai Plus du tout l'Ăąme en peine Le jour oĂč moi aussi J'aurai quelqu'un qui m'aime Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1219 Cette jolie petite Bulgare dĂ©buta sa carriĂšre en 1962 avec une trĂšs jolie chanson intitulĂ© "La plus belle pour aller danser" qui fut Ă©crite et composĂ© par Charles Asnavour. Dans les annĂ©es 60, elle Ă©pouse Johnny Hallyday, et incarneront enssemble l'un des couples les plus mythiques des sixties. Aujourd'hui, Sylvie est une artiste incontournable qui continue Ă  faire rĂȘver les petites filles et les petits garçons que fut certains et Ă©dition par le Mar 8 Mai 2007 - 1223, Ă©ditĂ© 1 fois Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1222 Françoise Hardy commenca sa carriĂšre avec une belle balade romantique intiulĂ© "Tous les garçons et les filles" et dans laquelle la jeunesse de l'Ă©poque s'identifiait. Elle sĂ©duit tous les Ăąges avec ses chansons aux couleurs nostalgiques et mĂ©lancoliques. Avec son look d'Ă©tudiante evanescente, la jeune fille aux cheveux longs incarne la fille idĂ©al pour bon nombre de rock star comme mick Jagger ou encore Bob Dylane qui lui Ă©criva d'ailleurs un trĂšs jolie poĂȘme au dos d'une pochette de l'un de ses albums. Françoise incarne sans conteste l'icĂŽne des sixties, ses chansons sont Ă  l'image mĂȘme de sa touchante personnalitĂ© et elle continue toujours Ă  nous Ă©mouvoir et nous Ă©merveillĂ© avec ses jolis textes poignants et rĂ©alistes. Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1231 Dans les annĂ©es 60, France Gall mĂȘle sa voix de jeune adolescente rĂȘveuse aux textes de Serge Gainsbourg tels que "Dents de lait, dents de loup" ou encore "PoupĂ©e de cire, poupĂ©e de son" chanson avec Laquelle France remporta l'Eurovision. C'est essentielement dans les annĂ©es 70 qu'elle connaitra un vĂ©ritable succĂ©s avec de trĂšs belles chansons comme le trĂšs beau "Ma dĂ©clartion". Chanteuse d'Ă©motions, elle demeure indispensable pour les amoureux de la chanson française. Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1232 Annie Chancel dite Sheila, incarne dans les annĂ©es 60 la chanteuse populaire. Avec des chansons comme "L'Ă©cole est finie", "Jolie petite sheila", "PremiĂšre surprise partie", elle exprime la gaitĂ© et l'euphorie de la jeunesse. Aujourd'hui, l'eternelle chanteuse Ă  couettes est restĂ©e une artiste pleine de vivacitĂ© et de spontanĂ©itĂ©. Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1432 Voici le plus beau playboy des sixties. Avec ses jolis yeux bleus couleur ocĂ©an et sa façon de ne pas se prendre au sĂ©rieux, Jacques Dutronc a sĂ©duit plus d'un coeur. Ses chansons au ton contestataire telles que "Les Cactus" ou encore "L'opportuniste" ont fait de lui une star incontournable des annĂ©es 60. Au dĂ©but des annĂ©es 70 il commence une carriĂšre cinĂ©matographique avec "Antoine et SĂ©bastien" de Jean-Marie Perrier et connaitra par la suite un trĂšs grand succĂšs. DrĂŽle, distant, et sensible Dutronc reste aujourd'hui un artiste unique et particulier en son genre. Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1446 Inutile de prĂ©senter l'eternel idole des jeunes, celui qui a traversĂ© tous les temps, toutes les modes, toutes les musiques. Commencant sa carriĂšre Ă  l'Ăąge de 17ans Johnny Hallyday est devenu en plus de 40 ans une vrai bĂȘte de scĂšne. Sa prĂ©sence et son allure Ă  la James Dean transcende toutes les gĂ©nĂ©rations. Aujourd'hui, il est la Star française la plus incontournable la plus Hallyday, de son vrai nom Jean-Philippe Smet, est nĂ© le 15 juin 1943 Ă  Paris. Ses parents, Huguette et LĂ©on, se sĂ©parent en 1944 et Johnny part vivre chez une de ses tantes, ancienne actrice de cinĂ©ma muet, qui mĂšne une vie itinĂ©rante avec ses deux filles danseuses. Johnny suit l'Ă©cole par correspondance, mais ce qu'il apprend et le passionne le plus reste le spectacle danse, guitare, chant, petits films 1957, la famille s'installe Ă  Paris, dans le IXe arrondissement. Johnny s'y fait des amis, dont certains deviendront aussi chanteurs Jacques Dutronc, Eddy Mitchell. C'est Ă  ce pĂ©riode qu'il dĂ©couvre Elvis Presley. C'est une rĂ©vĂ©lation et Johnny utilise ses talents artistiques pour interprĂ©ter les chansons de son idole au Golf Drouot. Il est dĂ©couvert par Jacques Wolfsohn, directeur artistique chez Vogue. SubjuguĂ© par le talent du jeune artiste, il lui signe un contrat pour enregistrer son premier 45 tours qui sort en 1960 sous le pseudonyme Johnny Hallyday. En 1961, il change de maison de disque et signe chez Philips, qui lui donne les moyens d'exploser. Johnny devient l'idole des jeunes. Tout juste ĂągĂ© de 18 ans, Johnny met le feu partout oĂč il passe. Du Golf Drouot Ă  l'Alhambra, de l'Olympia au Palais des sports, ses fans cassent les fauteuils quand il se roule sur scĂšne. Johnny enchaĂźne les tubes Retiens la nuit, Pas cette chanson, L'idole des jeunes, Elle est terrible, Da doo ron ron, etc. En 1965 il Ă©pouse Sylvie Vartan qui lui donne un fils l'annĂ©e suivante de sa liaison avec Nathalie Baye, naĂźtra une fille Laura en 1983. Les ans passent et Johnny, imperturbable, surfe sur les tendances avec une aisance folle. Il enchaĂźne les succĂšs et travaille toujours avec les plus grands Berger, Goldman, Obispo, Zazie, etc. pour toujours rester au sommet dans le coeur du public. Public qu'il convie rĂ©guliĂšrement pour des shows gigantesques comme Ă  la Tour Eiffel devant plus de 400000 vedette, bĂȘte de scĂšne inĂ©galable et homme aux multiples facettes, Johnny Hallyday rĂ©unit Ă  lui seul quelques chiffres impressionnants 80 millions de disques vendus, 900 chansons, 100 tournĂ©es, 18 albums de platine et 17 millions de spectateurs Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1450 Salvatore Adamo est un chanteurcompositeurfrancophone nĂ© le 1er novembre1943 Ă  Comiso Sicile. En 1947, son pĂšre part travailler en Belgique dans les mines, accompagnĂ© de sa famille. Il grandit Ă  dĂ©cembre 1959, il remporte un radio-crochet aprĂšs avoir Ă©tĂ© repĂȘchĂ©, et sort un premier 45 tours, qui passe inaperçu. Il part Ă  Paris et rencontre un premier succĂšs en 1963 avec Sans toi ma mie. Suivent Tombe la neige 1963, Vous permettez Monsieur 1964, Les Filles du bord de mer et Mes mains sur tes hanches 1965 Inch'Allah 1967.Jacques Brel a dit de lui qu’il Ă©tait un tendre jardinier de l’amour » et Raymond Devos Adamo... c'est chanson, c'est poĂšmes, c'est vibrations ! »Son succĂšs est international particuliĂšrement au Japon, il chantera ses chansons en de nombreuses autres langues italien, espagnol, allemand, nĂ©erlandais, japonais, portugais, turc. Son succĂšs au Japon s’explique par le fait que la structure musicale de sa chanson Tombe la neige, un refrain de cinq syllabes, correspond Ă  une forme traditionnelle de la chanson japonaise HaĂŻku. Les Japonais se sont donc appropriĂ© cette chanson et parfois la revendiquent eux-mĂȘmes comme appartenant Ă  leur patrimoine selon une anecdote rapportĂ©e par Salvatore Adamo annĂ©es 1980 le verront un peu en retrait. En 1984 il sera victime d'un accident cardiaque. En 2003 sort l'album Zanzibar avec la collaboration de son ami, le chanteur Arno, ce dernier a d'ailleurs repris avec brio "Les filles du bord de mer". En 2004, suite Ă  des problĂšmes de santĂ©, il doit annuler de nombreux concerts, notamment au Festival des Vieilles Charrues. En 2007, sort La part de l'ange suivit d'une 1993 Adamo est ambassadeur d'UNICEF pour la arrĂȘtĂ© royal du 4 juillet2001, le roi des Belges Albert II de Belgique lui concĂšde le titre nobiliaire de chante Ă  l'Olympia en 1965, 1967, 1969, 1971 et 1977. Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1455 Pascal Danel est un chanteur et compositeur français d'origine corse nĂ© le 31 mars1944 Ă  Paris. AprĂšs avoir Ă©tĂ© funambule Ă  moto, et reçu une bourse au conservatoire de théùtre de la rue Blanche, il dĂ©marre dans le groupe rock "Les PanthĂšres", puis se lance en solo dans la chanson en premiers tubes en 1965, "Hop lĂ  tu as Vu ! " et "Je m'en Fous" seront suivis par un N°1, "La Plage aux Romantiques", disque d'or en France et un hit dans plusieurs pays, puis par le succĂšs international de "Kilimandjaro", repris dans plus de 180 versions dans le monde, et disque de platine en France, ainsi qu'en Italie, Espagne, Pays Bas, Allemagne, Japon, Moyen Orient, etc. Ce titre sera un des plus grands standards français de la enregistre alors nombre de ses disques en italien, espagnol ou mĂȘme japonais et multiplie les tournĂ©es en France et Ă  l'Ă©tranger, plusieurs passages Ă  l'Olympia et de nombreuses Ă©missions de tĂ©lĂ© et radio. Pascal chantera plusieurs fois Ă  la tĂ©lĂ©vision en marchant sur un fil chez Guy Lux et chez Michel Drucker, avec qui il dĂ©bute dans un programme qu'il partage avec Jacques Dutronc et Jimi Hendrix.Les tubes suivent, comme "Les Trois DerniĂšres Minutes", "Comme une Enfant" ou "La Neige est en Deuil", jusqu'Ă  la fin des annĂ©es 60. Quelques autres 45 tours marchent cependant moins annĂ©es 70 lui apporteront d'autres succĂšs "Mamina", un gros tube repris Ă©galement par Dalida, "Ton Ame", primĂ©e Ă  la Rose d'Or et elle aussi reprise par Dalida en français et en italien, "Je Suis un Aventurier" N°2 du Hit Parade, "Rotterdam", "Pour un Amour", et quelques compose aussi le tube "Chanson pour Anna" pour Daniel guitariste et chef d'orchestre de 1969 Ă  1974 est Laurent Voulzy, avec qui il Ă©crit aussi plusieurs son succĂšs discographique s'Ă©mousse, malgrĂ© quelques petits hits Ă  la fin des 1979 cependant, "La Plage aux Romantiques" ressort et atteint Ă  nouveau le Top 5. Pascal publie ensuite un nouvel album et fait un dernier Olympia dĂ©but 1980, puis une importante tournĂ©e d'Ă©tĂ© en revient comme producteur tĂ©lĂ© dans les annĂ©es 80, avec Cadence 3 prĂ©sentĂ©e en compagnie de Guy Lux, et dont il compose aussi le gĂ©nĂ©rique, puis Macadam, une Ă©mission de variĂ©tĂ©s scĂ©narisĂ©e et sans prĂ©sentateur, dont il Ă©crit certains numĂ©ros en compagnie d'Étienne Roda-Gil. et enfin comme scĂ©nariste et compositeur pour un tĂ©lĂ©film en 1989, Pascal est N°1 avec "La Plage aux Romantiques" de l'Ă©mission de TF1 "SuccĂšs Fous", oĂč les tĂ©lĂ©spectateurs votent pour leur tube prĂ©fĂ©rĂ©. Il est aussi N°3 avec "Kilimandjaro" dans un autre numĂ©ro de cette mĂȘme compilation produite par son fils est disque d'or et bien classĂ©e dans les ventes, puis ils enchaĂźnent avec un album en langue Corse en 1994 et d'autres revient avec un nouvel album et un spectacle au Cirque d'Hiver en 2007, il est le 10 janvier au petit journal Montparnasse et Ă  partir de mars l'un des quelques membres de l'imposante tournĂ©e "Age Tendre et TĂȘte de Bois", qui traverse la France durant des mois, devant les salles combles du ZĂ©nith et de Bercy enregistre Ă©galement un titre des Beatles en duo instrumental sur l'album de son fils Jean-Pierre Danel "Guitar Connection 2", Ă  sortir en mars. Il a interprĂ©tĂ© la chanson Kilimandjaro et diverses autres en 6 a reçu un disque de diamant pour 15 millions de disques vendus Ă  l'occasion du 35Ăšme anniversaire de son premier a Ă©tĂ© abandonnĂ© Ă  la naissance et n'a connu sa mĂšre qu'Ă  l'Ăąge de 24 a Ă©tĂ© funambule Ă  moto avec la troupe des Diables fils Jean-Pierre Danel est un guitariste et producteur a composĂ© la musique du tĂ©lĂ©film "L'Enfant et le PrĂ©sident", avec Michael GĂ©nĂ©ral De Gaulle a citĂ© Kilimandjaro parmi ses chansons chanson "Ton Ame", prĂ©sentĂ©e en italien au festival de Venise en 1972 a Ă©tĂ© censurĂ©e par le entend Kilimandjaro dans le film Le VĂ©lo de Ghislain Lambert 2001, avec BenoĂźt Poelvoorde et JosĂ© classĂ©s dans les Hits [modifier]Je m'en Fous 1965 N°18 Hop LĂ  Tu As Vu ! 1965 N°16 La plage aux Romantiques 1966 N°1 Pierrot le Sait 1966 N°33 Jeanne 1967 N°16 Kilimandjaro 1967 N°1 Les Trois DerniĂšres Minutes 1967 N°6 Comme Une Enfant 1967 N°1 Mon Ami 1967 N°13 Avec Un Bout de Crayon 1967 N°38 Le Funambule 1968 N°21 La Neige est en Deuil 1968 N°14 L'Italie 1968 N°32 Allez Viens On Danse 1968 N°24 Dans la Main d'une Fille 1969 N°42 Un Jour d'EtĂ© 1969 N°27 Mamina 1970 N°4 Ton Ame 1972 Prix de la Rose d'Or N°17 Notre Dame 1972 N°48 Je Suis un Aventurier 1973 N°2 Pour Un Amour 1973 N°11 Le Petit Prince n'est pas Mort 1973 N°7 Comme on Est Bien Ensemble 1973 N°21 Rotterdam 1974 N°13 La Communale de mes 10 ans 1978 N°26 Si l'On Vivait Ensemble 1978 N°41 Et j'Ai Soudain Beaucoup d'Amis 1979 N°50 La Plage aux Romantiques 1979 N°5 Les Grands Oiseaux 1980 N°44 Un Homme Fou d'Amour 1981 N°41 Et Si On Partait d'Ici 1982 N°19 La Robe d'Organdi 1983 N°48 Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1458 KILIMANDJAROIl n'ira pas beaucoup plus loinLa nuit viendra bientĂŽtIl voit lĂ -bas dans le lointainLes neiges du KilimandjaroElles te feront un blanc manteauOĂč tu pourras dormirElles te feront un blanc manteauOĂč tu pourras dormir, dormir, dormirDans son dĂ©lire il lui revientLa fille qu'il aimaitIls s'en allaient main dans la mainIl la revoit quand elle riaitElles te feront un blanc manteauOĂč tu pourras dormirElles te feront un blanc manteauOĂč tu pourras dormir, dormir, dormirVoilĂ  sans doute Ă  quoi il penseIl va mourir bientĂŽtElles n'ont jamais Ă©tĂ© si blanchesLes neiges du KilimandjaroElles te feront un blanc manteauOĂč tu pourras dormirElles te feront un blanc manteauOĂč tu pourras dormir, dormir, dormir, dormir bientĂŽtecoutez la chanson faites clic Ă©dition par le Mar 8 Mai 2007 - 1506, Ă©ditĂ© 2 fois Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1501 Christophe ? Le plus improbable des chanteurs français ; le plus imprĂ©visible Ă©galement. Aucun plan de carriĂšre le concernant puisqu'il ne fonctionne que par envies et coups de coeur. Ainsi peut-on rĂ©sumer sa vie de chanteur en plusieurs pĂ©riodes d'abord Aline, le premier vĂ©ritable tube dans l'histoire de la chanson, en 1965. A vingt ans... Ensuite les marionnettes, quelques 45 tours et puis plus rien ; oĂč plutĂŽt l'homme se retire et chante quelques chansons dans un cirque... avant de revenir avec l'album le plus ambitieux des annĂ©es 70 Les paradis perdus... suivront Les mots bleus, senorita, petite fille du soleil, daisy, la dolce vita... lors de ces annĂ©es 70 ; et puis encore " Le beau bizarre ", album Ă©trange et culte son Berlin de Lou reed Ă  lui. il Ă©pate et il Ă©tonne. Et il dĂ©tonne... Et puis en 1979 revend 1 million 5 d'exemplaires de son 45 tours " aline "... Durant les annĂ©es 80, il se cherchera eret continuera Ă  triturer les sons, sortira uin album en 1980 " pas vu pas pris" puis uun album de reprise en 1983, enfin quelques 45 tours succĂšs fou, ne raccroche pas, j'l'ai pas touchĂ©e jusqu'en 1988 avec ChiquĂ© chiquĂ©... avant de disparaĂźtre, puis de rĂ©apparaĂźtre en 1996 avec l'album Bevilacqua. Un chef d'oeuvre qui sera boudĂ©. De nouveau le silence, puis Comm'so la terre penchait en 2001; aussi sublime que son prĂ©dĂ©cesseur... une voix donnant la chair de poule. il est bien prĂ©sent en 2002 avec son retour trimphale Ă  l'olympia, couronnĂ© par une victoire de la musique plus que mĂ©ritĂ©e. A dĂ©couvrir de toute rugence et pour prolonger le plaisir CHRISTOPHENom d'origine Daniel Bevilacqua‱ Date de naissance 13 Octobre 1945‱ Lieu de naissance Juvisy sur Orge‱ Genre musical VariĂ©tĂ©s‱ Ses plus grands succĂšs ‱ Aline - Les Marionnettes - Je suis parti - Je chante pour un ami - Monsieur le professeur - Les paradis perdus - Les mots bleus - SuccĂ©s fou - Senorita.‱ Principaux albums Mes chansons, mes passions - ChiquĂ©, ChiquĂ©. nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1607 ET ELVIS LE ROI DU ROCKNROLL!!!!!!!!!!!J'ADORAIS DANSER SES ROCKSYAHSSARA LA BELLE VIEElvis Presley Jailhouse rock "Best artist of the century [8]" -The warden threw a party in the county prison band was there and they began to band was jumpin' and the joint began to should've heard those knocked out jailbirds rock, everybody, let's in the whole cell blockwas dancin' to the Jailhouse Murphy played the tenor saxophone,Little Joe was blowin' on the slide drummer boy from Illinois went crash, boom, bang,the whole rhythm section was the Purple rock, everybody, let's in the whole cell blockwas dancin' to the Jailhouse forty-seven said to number three"You're the cutest jailbird I ever did sure would be delighted with your company,come on and do the Jailhouse Rock with me."Let's rock, everybody, let's in the whole cell blockwas dancin' to the Jailhouse sad sack was a sittin' on a block of stoneway over in the corner weepin' all warden said, "Hey, buddy, don't you be no you can't find a partner use a wooden chair."Let's rock, everybody, let's in the whole cell blockwas dancin' to the Jailhouse Henry said to Bugs, "For Heaven's sake,no one's lookin', now's our chance to make a break."Bugsy turned to Shifty and he said, "Nix nix,I wanna stick around a while and get my kicks."Let's rock, everybody, let's in the whole cell blockwas dancin' to the Jailhouse nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1610 Elvis Presley Don't be cruel You know I can be found, sitting home all alone,If you can't come around, at least please be cruel to a heart that's if I made you mad for something I might have said,Please, let's forget the past, the future looks bright ahead,Don't be cruel to a heart that's don't want no other love,Baby it's just you I'm thinking stop thinking of me, don't make me feel this way,Come on over here and love me, you know what I want you to be cruel to a heart that's should we be apart?I really love you baby, cross my walk up to the preacher and let us say I do,Then you'll know you have me, and I'll know I'll have you too,Don't be cruel to a heart that's don't want no other love,Baby it's just you I'm thinking be cruel to a heart that's be cruel to a heart that's don't want no other love,Baby it's just you I'm thinking nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 8 Mai 2007 - 1613 Elvis Presley It's now or never It's now or never,come hold me tightKiss me my darling,be mine tonightTomorrow will be too late,it's now or neverMy love won't I first saw youwith your smile so tenderMy heart was captured,my soul surrenderedI'd spend a lifetimewaiting for the right timeNow that your nearthe time is here at now or never,come hold me tightKiss me my darling,be mine tonightTomorrow will be too late,it's now or neverMy love won't like a willow,we would cry an oceanIf we lost true loveand sweet devotionYour lips excite me,let your arms invite meFor who knows whenwe'll meet again this wayIt's now or never,come hold me tightKiss me my darling,be mine tonightTomorrow will be too late,it's now or neverMy love won't wait.[b] nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 9 Mai 2007 - 1805 SHEILAParole de chanson L'Ă©cole est finieDonne-moi ta main et prends la mienneLa cloche a sonnĂ© ça signifieLa rue est Ă  nous que la joie vienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieNous irons danser ce soir peut-ĂȘtreOu bien chahuter tous entre amisRien que d'y penser j'en perds la tĂȘteMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieDonne-moi ta main et prends la mienneLa cloche a sonnĂ© ça signifieLa rue est Ă  nous que la joie vienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieJ'ai bientĂŽt dix-sept ans un cƓur tout neufEt des yeux d'angeToi tu en as dix-huit mais tu en fais dix-neufC'est ça la chanceDonne-moi ta main et prends la mienneLa cloche a sonnĂ© ça signifieLa rue est Ă  nous que la joie vienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieDonne-moi ta main et prends la mienneNous avons pour nous toute la nuitOn s'amusera quoi qu'il advienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieAu petit matin devant un crĂšmeNous pourrons parler de notre vieLaissons au tableau tous nos problĂšmesMais oui Mais oui l'Ă©cole est finie. kakyMedaille d'OrNombre de messages 1392Age 78Date d'inscription 23/10/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 9 Mai 2007 - 2311 ...salam chere miss soly...he bien tu nous gates vraiment avec u tel sujet qui nous rappelle tant et tant de bons souvenirs...mais ah il y a un petit mais...comment oublier un garçon qui a aussi marquer cette epoque par son immense talent et surtout qu il adore "casablanca"je parle bien sur de monsieur herve vilar...amitiĂ©s...kaki... nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 9 Mai 2007 - 2332 a tes ordres kakivoici la fameuse chanson de herve vilard "CAPRI"HervĂ© Vilar Capri, c'est finiParoles HervĂ© Vilard. Nous n'irons plus jamais,OĂč tu m'as dit je t'aime,Nous n'irons plus jamais,Comme les autres annĂ©es,Nous n'irons plus jamais,Ce soir c'est plus la peine,Nous n'irons plus jamais,Comme les autres annĂ©es;Capri, c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amour,Capri, c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amour,Capri, c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un n'irons plus jamais,OĂč tu m'as dit je t'aime,Nous n'irons plus jamais,Comme les autres annĂ©es;Parfois je voudrais bien,Te dire recommençons,Mais je perds le courage,Sachant que tu diras c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amour,Capri, c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amour,Capri, c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un n'irons plus jamais,Mais je me souviendrais,Du premier rendez-vous,Que tu m'avais donnĂ©,Nous n'irons plus jamais,Comme les autres annĂ©es,Nous n'irons plus jamais,Plus jamais, plus c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amour,Capri, c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un oh c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amour,Capri,oh c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un capri, oh c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amourOh capri, c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un capri, oh c'est fini,Et dire que c'Ă©tait la villeDe mon premier amourOh capri, c'est fini,Je ne crois pasQue j'y retournerai un jour. nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Jeu 10 Mai 2007 - 2201 Les Chaussettes Noires Dactylo rock Monsieur le Directeur, sans mĂȘme le savoirDe tous les hommes, vous ĂȘtes le plus veinard !Vous avez desdi bi di bi di bi diDactylos Rockdi bi di bi di bi diElles sont les plus parfaitesElles tapent en chantant Ă  tue-tĂȘteWoah !Be bop a lula !Be bop a lula !Elles travaillent le jour et la nuitEt mĂȘme parfois tous les samedisLes dactylos rockdi bi di bi di bi diDactylo rockdi bi di bi di bi diElles sont les plus parfaitesElles chantent en tapant Ă  tue-tĂȘteWoah ! Be bop a lula !Be bop a lula !Dans tous les bureauxDe bas en hautLes dactylos tapent Ă  gogoEt leurs patrons leurs disent "go !"Go !Elles sont douces et trĂšs joliesCe sont les plus belles filles de ParisLes dactylos Rockdi bi di bi di bi diDactylo rockdi bi di bi di bi diPour faire leur conquĂȘteLes directeurs perdent la tĂȘteElles valent bien ça !Elles valent bien ça !Dans tous les bureauxDe bas en hautOn chantera trĂšs bientĂŽtLe Rock des dactylosGo !Monsieur le DirecteurSans mĂȘme le savoirDe tous les hommesVous ĂȘtes le plus veinardVous avez desdi bi di bi di bi diDactylos Rockdi bi di bi di bi diElles sont les plus parfaitesElles tapent en chantant Ă  tue-tĂȘteWoah !Be bop a lula !Be bop a lula ! nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Ven 11 Mai 2007 - 1351 Sous le ciel de Paris - Edith PIAF Sous le ciel de Paris S'envole une chanson Hum Hum Elle est nŚ™e d'aujourd'hui Dans le cƓur d'un garŚ—on Sous le ciel de Paris Marchent des amoureux Hum Hum Leur bonheur se construit Sur un air fait pour eux Sous le pont de Bercy Un philosophe assis Deux musiciens quelques badauds Puis les gens par milliers Sous le ciel de Paris Jusqu'au soir vont chanter Hum Hum L'hymne d'un peuple Ś™pris De sa vieille citŚ™ Prژs de Notre Dame Parfois couve un drame Oui mais ڐ Paname Tout peut s'arranger Quelques rayons Du ciel d'Ś™tŚ™ L'accordŚ™on D'un marinier L'espoir fleurit Au ciel de Paris Sous le ciel de Paris Coule un fleuve joyeux Hum Hum Il endort dans la nuit Les clochards et les gueux Sous le ciel de Paris Les oiseaux du Bon Dieu Hum Hum Viennent du monde entier Pour bavarder entre eux Et le ciel de Paris A son secret pour lui Depuis vingt siژcles il est Ś™pris De notre ÖŸle Saint Louis Quand elle lui sourit Il met son habit bleu Hum Hum Quand il pleut sur Paris C'est qu'il est malheureux Quand il est trop jaloux De ses millions d'amants Hum Hum Il fait gronder sur nous Son tonnerr' Ś™clatant Mais le ciel de Paris N'est pas longtemps cruel Hum Hum Pour se fair' pardonner Il offre un arc en ciel nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Dim 13 Mai 2007 - 1507 CharlyJ'ecris peu mais je lis toutNombre de messages 426Age 76Date d'inscription 08/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Dim 13 Mai 2007 - 1537 eh ben CELIA...on ne risque pas de s'ennuyer au piano-bar avec toute cette belle musique... Bisous nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Lun 14 Mai 2007 - 803 Alain BarriĂšre Elle etait si jolie Elle Ă©tait si jolieQue je n'osais l'aimerElle Ă©tait si jolieJe ne peux l'oublierElle Ă©tait trop jolieQuand le vent l'emmenaitElle fuyait ravieEt le vent me disait...Elle est bien trop jolieEt toi je te connaisL'aimer toute une vieTu ne pourras jamaisOui mais elle est partieC'est bĂȘte mais c'est vraiElle Ă©tait si jolieJe ne l'oublierai jamaisAujourd'hui c'est l'automneEt je pleure souventAujourd'hui c'est l'automneQu'il est loin le printempsDans le parc oĂč frissonnentLes feuilles au vent mauvaisSa robe tourbillonnePuis elle disparaĂźt...Elle Ă©tait si jolieQue je n'osais l'aimerElle Ă©tait si jolieJe ne peux l'oublierElle Ă©tait trop jolieQuand le vent l'emmenaitElle Ă©tait si jolieJe n'oublierai jamais nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 15 Mai 2007 - 1149 [b]Nino Ferrer Mirza Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la OŚ© est donc passŚ™ ce chien Je le cherche partout OŚ© est donc passŚ™ ce chien Il va me rendre fou OŚ© est donc passŚ™ ce chien Oh! Ö·a y est, je le vois ! Veux tu venir ici, Je n'le rŚ™pŚ™terai pas Veux-tu venir ici, Mmmmm, sale bښte va ! Veux-tu venir ici Oh! Il est reparti OŚ© est donc passŚ™ ce chien Je le cherche partout OŚ© est donc passŚ™ ce chien Il va me rendre fou OŚ© est donc passŚ™ ce chien Oh! Ö·a y est je le vois ! C'est bien la derniژre fois Que je te cherche comme Ś—a Veux tu venir ici Je n'le rŚ™pژterai pas Veux tu venir ici Oh et ne bouge pas Veux tu venir ici Oh yeah ! satanŚ™ Mirza [b][color=blue] nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 16 Mai 2007 - 1258 HervŚ™ Vilard Un monde fait pour nous 1969 Nous attendons tant de la vie ڐ chaque instant Et si jamais le monde n'est pas assez grand Nous serons bien nous battre pour bŚ’tir le notre Nous avons vingt ans et notre amour va nous emporter Dژs aujourd'hui vers un pays bien loin d'ici Vers un pays oŚ© nous vivrons ڐ l'infini comme dans un paradis Un monde ڐ la mesure de nos je t'aime A la mesure de notre chance Aux dimensions de notre amour Un monde que nous pourrons bŚ’tir nous mښme OŚ© chaque jour tout recommence Un monde fait pour nous Un monde Un monde ڐ la mesure de nos je t'aime A la mesure de notre chance Un monde fait pour nous la, la, la nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Dim 20 Mai 2007 - 1428 Bob Azzam MUSTAPHA ChŚ™ri je t'aime chŚ™ri je t'adore, Como la salsa de pomodoro. Y'a Mustapha, y'a Mustapha AnavaŚ™ badia Mustapha Ö·a va chŚ™rim faila attaarim ÖčronquŚ™rim matchŚ™ Ś™ma hatchim. Thala aya Mustapha yaŚ™mil quŚ™lam HŚ™nŚ™al quamŚ™ bŚ™mane avŚ™nŚ™al quŚ™lam Where my live oh guest oh guest, yes my love Oh guest oh guest Oh guest oh guest Y'a Mustapha, y'a Mustapha AnavaŚ™ badia Mustapha Ö·a va chŚ™rim faila atha harim ÖčronquŚ™rim matchŚ™ Ś™ma hatchim. Quand je t'ai vu sur le bacon Tu m'as dit monte et ne fait pas d' faŚ—on. ChŚ™ri je t'aime chŚ™ri je t'adore, Como la salsa de pomodoro Y'a Mustapha, y'a Mustapha AnavaŚ™ badia Mustapha Ö·a va chŚ™rim faila atha harim ÖčronquŚ™rim matchŚ™ Ś™ma hatchim. Tu m'as allumŚ™ avec une allumette Et tu m'as fait perdre la ڐ tښte ChŚ™ri je t'aime chŚ™ri je t'adore, Como la salsa de pomodoro Y'a Mustapha, y'a Mustapha AnavaŚ™ badia Mustapha Ö·a va chŚ™rim faila atha harim ÖčronquŚ™rim matchŚ™ Ś™ma hatchim. nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Sam 26 Mai 2007 - 1834 Adamo - Vous permettez, monsieur ? Aujourd'hui, c'est le bal des gens que vous ĂȘtes jolies!Pas question de penser aux foliesles folies sont affaires de n'oublie pas les belles maniĂšres,on demande au papa s'il permet;et comme il se mĂ©fie des gourmets,il vous passe la permettez, Monsieur,que j'emprunte votre fille?Et, bien qu'il me sourie,moi, je sens qu'il se permettez, Monsieur?Nous promettons d'ĂȘtre sagescomme vous l'Ă©tiez Ă  notre Ăągejuste avant le qu'un mĂštre environ nous sĂ©pare,nous voguons par-delĂ  les doit dire, entre nous, on se marreĂ  les voir ajuster leurs d'amour dans nos mains qui s'Ă©treignent!Que d'Ă©lans vers ton cƓur dans le mien!Le regard des parents, s'il retient,n'atteint pas la tendresse oĂč l'on [b][color=blue] nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 29 Mai 2007 - 1156 Salvatore Adamo À demain sur la lune À demain sur la luneAux quatre coins des dieuxÀ demain sur la luneÀ trois bornes des cieuxIl y aura un carrosseQui nous emmĂšneraVoir mes rĂȘves de gosseEt tu t'y reconnaĂźtrasEt pour toi ma jolieLe vent, ce magicienJouera une symphonieDe mille musiciensA demain sur la lune...LĂ  nous verrons la terreComme une boule de NoĂ«lSe balancer lĂ©gĂšreAu grand sapin du cielEt d'Ă©toile en Ă©toileNos chevaux volerontA l'heure oĂč le ciel se voileDe mille rĂȘves blancs {blonds?}A demain sur la lune...Le vent te couvriraD'un voile de dentellesEt tu t'endormirasDans la nuit la plus belleMoi moi, moi je te berceraiJ'attendrai ton rĂ©veilPuis je t'embrasseraiA la barbe du soleilA demain sur la lune...A demain sur la lune...{ad lib} nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Dim 3 Juin 2007 - 2213 Sheila L'Ă©cole est finie Donne-moi ta main et prends la mienneLa cloche a sonnĂ© ça signifieLa rue est Ă  nous que la joie vienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieNous irons danser ce soir peut-ĂȘtreOu bien chahuter tous entre amisRien que d'y penser j'en perds la tĂȘteMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieDonne-moi ta main et prends la mienneLa cloche a sonnĂ© ça signifieLa rue est Ă  nous que la joie vienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieJ'ai bientĂŽt dix-sept ans un cƓur tout neufEt des yeux d'angeToi tu en as dix-huit mais tu en fais dix-neufC'est ça la chanceDonne-moi ta main et prends la mienneLa cloche a sonnĂ© ça signifieLa rue est Ă  nous que la joie vienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieDonne-moi ta main et prends la mienneNous avons pour nous toute la nuitOn s'amusera quoi qu'il advienneMais oui Mais oui l'Ă©cole est finieAu petit matin devant un crĂšmeNous pourrons parler de notre vieLaissons au tableau tous nos problĂšmesMais oui Mais oui l'Ă©cole est finie. nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Lun 4 Juin 2007 - 2235 Sheila PremiĂšre surprise-partie {Refrain}Ce soir pour la premiĂšre foisMes parents m'ont enfin permisD'inviter des amis chez moiC'est ma premiĂšre surprise-partieDepuis plus de cinq ou six moisJ'avais vainement essayĂ©C'Ă©tait pareil Ă  chaque foisQuand j'demandais, on m'refusaitMon pĂšre prenait ça de hautMa mĂšre disait qu'c'Ă©tait trop tĂŽtIls se sont enfin mis d'accordAprĂšs des heures de discussionSans reconnaĂźtre qu'ils avaient tortIls m'ont donnĂ© la permissionPremiĂšre surprise-partie,PremiĂšre surprise-partie,PremiĂšre surprise-partie,.........{au Refrain}Il faut venir n'hĂ©sitez pasOn fera de la place Ă  la maisonOn va s'amuser croyez-moiEt profiter de la permission{au Refrain}C'est ma premiĂšre surprise-partieC'est ma premiĂšre surprise-partie...........- Reina AlfonsoJ'ecris peu mais je lis toutNombre de messages 145Age 74Date d'inscription 24/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Dim 17 Juin 2007 - 1723 Magnifique celia, mais je n'ai pas encore vu "Charles Aznavour", pour moi il restera a etre mon chanteur prefere ainsi qu' continue a ecouter toute cette musique des annees 60 etc... merci celia et continue BIZOU tanjaouiMedaille d'OrNombre de messages 1148Age 53Date d'inscription 27/08/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Dim 17 Juin 2007 - 2035 Bravo Celia,C'est gĂ©nial toutes ces paroles, grĂące Ă  toi j'ai appris une chose Je croyais que HervĂ© Villard disait "...la vie" en fait c'est "la ville" dans Capri. Ciao nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 20 Juin 2007 - 935 merci mes amisa la demande de notre cher tanjaoui je vousplace toutes les chansons de Charles aznavourchaque jour 2 chansonsCharles Aznavour Il faut savoir Il faut savoir encore sourireQuand le meilleur s'est retirĂ©Et qu'il ne reste que le pireDans une vie bĂȘte Ă  pleurerIl faut savoir, coĂ»te que coĂ»teGarder toute sa dignitĂ©Et malgrĂ© ce qu'il nous en coĂ»teS'en aller sans se retournerFace au destin qui nous dĂ©sarmeEt devant le bonheur perduIl faut savoir cacher ses larmesMais moi, mon cƓur, je n'ai pas suIl faut savoir quitter la tableLorsque l'amour est desserviSans s'accrocher l'air pitoyableMais partir sans faire de bruitIl faut savoir cacher sa peineSous le masque de tous les joursEt retenir les cris de haineQui sont les derniers mots d'amourIl faut savoir rester de glaceEt taire un cƓur qui meurt dĂ©jĂ Il faut savoir garder la faceMais moi, mon cƓur, je t'aime tropMais moi, je ne peux pasIl faut savoir mais moiJe ne sais pas...- nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 20 Juin 2007 - 936 Charles Aznavour Yerushalaim De temps en tempsComme un enfantMa pensĂ©e te dessineYerushalaimDe loin en loinTu n' est plus qu' unRĂȘve qui tombe en ruineYerushalaimTel ces Ă©migrantsDont les yeux brĂ»lantsS' ouvrent Ă  l' Ă©cho de ton nomD' au-delĂ  des mersSouvent Ă  traversD' hostiles et dures rĂ©gionsJ' Ă©tais venuMains vides et pieds nuÀ toi YerushalaimPour me garderTu as clouĂ©L' amour dans ma poitrineYerushalaimOĂč sont mes joiesN' y a-t-il pasDe bonheur sans Ă©pines ?YerushalaimTout s' est acharnĂ©Pour nous dĂ©chirerEt le brouillard de nos pleuresA troublĂ© l' azurÉlevant un murEntre son cƓur et mon cƓurMais j' ai en moiL' espoir toutefoisQue l' amour encoreRenaisse et vive encorePour nous Ă  Yerushalaim samuel azerrafNombre de messages 20Date d'inscription 29/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 20 Juin 2007 - 1913 LES BELLES CHANSONS QUE J'AIMECLIQUEE SAMUEL tanjaouiMedaille d'OrNombre de messages 1148Age 53Date d'inscription 27/08/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mer 20 Juin 2007 - 1925 Salut Ă  toutes et Ă  tous,Celia merci pour ces cadeaux Bonne soirĂ©e nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Ven 22 Juin 2007 - 1552 Charles Aznavour Que c'est triste Venise Que c'est triste VeniseAu temps des amours mortesQue c'est triste VeniseQuand on ne s'aime plusOn cherche encore des motsMais l'ennui les emporteOn voudrais bien pleurerMais on ne le peut plusQue c'est triste VeniseLorsque les barcarollesNe viennent soulignerQue des silences creuxEt que le cƓur se serreEn voyant les gondolesAbriter le bonheurDes couples amoureuxQue c'est triste VeniseAu temps des amours mortesQue c'est triste VeniseQuand on ne s'aime plusLes musĂ©es, les Ă©glisesOuvrent en vain leurs portesInutile beautĂ©Devant nos yeux déçusQue c'est triste VeniseLe soir sur la laguneQuand on cherche une mainQue l'on ne vous tend pasEt que l'on ironiseDevant le clair de lunePour tenter d'oublierCe qu'on ne se dit pasAdieu tout les pigeonsQui nous ont fait escorteAdieu Pont des SoupirsAdieu rĂȘves perdusC'est trop triste VeniseAu temps des amours mortesC'est trop triste VeniseQuand on ne s'aime plus nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Ven 22 Juin 2007 - 1555 Charles Aznavour AĂŻe! mourir pour toi AĂŻe! mourir pour toiA l'instant oĂč ta main me frĂŽleLaisser ma vie sur ton Ă©pauleBercĂ© par le son de ta voixAĂŻe! mourir d'amourT'offrir ma derniĂšre secondeEt sans regret quitter le mondeEn emportant mon plus beau jourPour garder notre bonheurComme il est lĂ Ne pas connaĂźtre la douleurPar toiEt la terrible certitudeDe la solitudeAĂŻe! mourir pour toiPrendre le meilleur de nous-mĂȘmesDans le souffle de ton je t'aimeEt m'endormir avec mes joiesParle-moiConsole-moiJ'ai peur du jour qui va naĂźtreIl sera le dernier peut-ĂȘtreQue notre bonheur va connaĂźtreSerre-moiApaise-moiQuand j'ai l'angoisse du pireNe dis rien quand tu m'entends direQu'au fond mourir pour mourirAĂŻe! mourir pour toiA l'instant oĂč ta main me frĂŽleLaisser ma vie sur ton Ă©pauleBercĂ© par le son de ta voixAĂŻe! mourir d'amourT'offrir ma derniĂšre secondeEt sans regret quitter le mondeEn emportant mon plus beau jourPour garder notre bonheurComme il est lĂ Ne pas connaĂźtre la douleurPar toiEt la terrible certitudeDe la solitudeAĂŻe! mourir pour toiPrendre le meilleur de nous-mĂȘmesDans le souffle de ton je t'aimeEt m'endormir avec mes joiesMourir pour toi...- Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Ven 22 Juin 2007 - 1624 Merci Celia ma cherieShabat Shalombisous Soly HannahJ'ecris peu mais je lis toutNombre de messages 207Date d'inscription 24/02/2007Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Sam 23 Juin 2007 - 1413 TRES BONNE IDEE CELIA DE NOUS AVOIR MIS LES CHANSONS DE NOTRE ENFANCE ET AVEC TA PERMISSION J'AIMERAIS METTRE UNE TRES BELLE CHANSON DE ADAMO Paroles de Inch'allahJ'ai vu l'orient dans son Ă©crinAvec la lune pour banniĂšreEt je comptais en un quatrainChanter au monde sa lumiĂšreMais quand j'ai vu JĂ©rusalemCoquelicot sur un rocherJ'ai entendu un requiemQuand sur lui je me suis penchĂ©Ne vois-tu pas humble chapelleToi qui murmures paix sur la terreQue les oiseaux cachent de leurs ailesCes lettres de feu danger frontiĂšreLe chemin mĂšne Ă  la fontaineTu voudrais bien remplir ton seauArrĂȘte-toi Marie-MadeleinePour eux ton corps ne vaut pas l'eauInch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'AllahEt l'olivier pleure son ombreSa tendre Ă©pouse son amieQui repose sous les dĂ©combresPrisonniĂšres en terre ennemieSur une Ă©pine de barbelĂ©sLe papillon guette la roseLes gens sont si Ă©cervelĂ©sQu'ils me rĂ©pudieront si j'oseDieu de l'enfer ou Dieu du cielToi qui te trouves ou bon te sembleSur cette terre d'IsraĂ«lIl y a des enfants qui tremblentInch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'AllahLes femmes tombent sous l'orageDemain le sang sera laveLa route est faite de courageUne femme pour un pavĂ©Mais oui j'ai vu JĂ©rusalemCoquelicot sur un rocherJ'entends toujours ce requiemLorsque sur lui je suis penchĂ©Requiem pour 6 millions d'ĂąmesQui n'ont pas leur mausolĂ©e de marbreEt qui malgrĂ© le sable infĂąmeOn fait pousser 6 millions d'arbresInch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Sam 23 Juin 2007 - 1724 Charles Aznavour Ave Maria Ave MariaAve MariaCeux qui souffrent viennent Ă  toiToi qui as tant souffertTu comprends leurs misĂšresEt les partagesMarie courageAve MariaAve MariaCeux qui pleurent sont tes enfantsToi qui donnas le tienPour laver les humainsDe leurs souilluresMarie la pureAve MariaAve MariaCeux qui doutent sont dans la nuitMariaÉclaire leur cheminEt prends-les par la mainAve MariaAve Maria, Ave MariaAmen nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Sam 23 Juin 2007 - 1727 Charles Aznavour Donne tes seize ans Viens, donne tes seize ansAu bonheur qui prend formePour que ton corps d'enfantPeu Ă  peu se transformeViens, n'hĂ©site pasMets ta main dans ma mainSimplement, et donne tes seize ansViens, donne tes seize ansAux amours Ă©ternellesC'est le plus beau printempsDe la vie qui t'appelleViens, au creux de moiMets ta joue sur ma joueTendrement, et donne tes seize ansUn jour, lorsque la vie aura fanĂ© nos joursUn jour, nous penserons qu'il fut bien courtLe printemps des amoursViens, donne tes seize ansÀ ta fureur de vivreLe chemin des AmantsEst le seul qu'il faut suivreViens, donne ton cƓurMon amour Ă  l'amourQui attend, pour prendre tes seize ansDonne tes seize ansDonne tes seize ans HannahJ'ecris peu mais je lis toutNombre de messages 207Date d'inscription 24/02/2007Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Sam 23 Juin 2007 - 1740 JE SAIS QUE CE N'EST PAS UNE CHANSON DE NOTRE ENFANCE MAIS ELLE EST SI BELLE QUE JE NE M'EMPECHE PAS DE VOUS LA METTRE. Shot at 1969-12-31 Patrick Bruel Au cafĂ© des dĂ©lices Paroles et Musique FĂ©lix Gray, Patrick Bruel 1999 "Juste avant"Tes souvenirs se voilentÇa fait comme une Ă©clipseUne nuit plein d'Ă©toilesSur le port de TunisLe vent de l'Ă©ventailDe ton grand-pĂšre assisAu CafĂ© des DĂ©licesTes souvenirs se voilentTu vois passer le trainEt la blancheur des voilesDes femmes tenant un filsEt l'odeur du jasminQu'il tenait dans ses mainsAu CafĂ© des DĂ©licesYalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalilTes souvenirs se voilentTu la revois la filleLe baiser qui fait malAu port El KantaouiLes premiers mots d'amourSur les chansons veloursAbibi AbibiTes souvenirs se voilentTu les aimais ces fruitsLes noyaux d'abricotPour toi, c'Ă©taient des billesEt les soirĂ©es de fĂȘteQu'on faisait dans nos tĂȘtesAux plages d'HammametYalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalilTes souvenirs se voilentÀ l'avant du bateauEt ce quai qui s'Ă©loigneVers un monde nouveauUne vie qui s'arrĂȘtePour un jour qui commenceC'est peut-ĂȘtre une chanceYalil yalil tu n'oublieras pasYalil yalil ces parfums d'autrefoisYalil yalil tu n'oublieras pasYalil yalil mĂȘme si tu t'en vasYalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalilUne nuit plein d'Ă©toilesSur le port de TunisEt la blancheur des voilesDes femmes tenant un filsLe vent de l'Ă©ventailDe ton grand-pĂšre assisEt l'odeur du jasminQu'il tenait dans ses mainsAu CafĂ© des DĂ©lices nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Lun 25 Juin 2007 - 1301 Charles Aznavour For me, Formidable You are the one for me, for me, for me, formidableYou are my love very, very, very, vĂ©ritableEt je voudrais pouvoir un jour enfin te le direTe l' Ă©crireDans la langue de ShakespeareMy daisy, daisy, daisy, dĂ©sirableJe suis malheureux d' avoir si peu de motsÀ t'offrir en cadeauxDarling I love you, love you, darling I want youEt puis c' est Ă  peu prĂšs toutYou are the one for me, for me, for me, formidableYou are the one for me, for me, for me, formidableBut how can youSee me, see me, see me, si minableJe ferais mieux d'aller choisir mon vocabulairePour te plaireDans la langue de MoliĂšreToi, tes eyes, ton nose, tes lips adorablesTu n'as pas compris tant pisNe t'en fais pas et viens-t-en dans mes brasDarling I love you, love you,Darling, I want youEt puis le reste on s'en foutYou are the one for me, for me, for me, formidableJe me demande mĂȘmePourquoi je t'aimeToi qui te moques de moi et de toutAvec ton air canaille, canaille, canailleHow can I love you nanoucheMedaille d'OrNombre de messages 1803Age 75Date d'inscription 07/11/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 26 Juin 2007 - 1646 Charles Aznavour De t'avoir aimĂ©e De t'avoir aimĂ©e, aimĂ©e comme un fouAimĂ©e a genoux, bien plus que deboutÀ n'en plus dormir, Ă  n'en plus mangerQue me reste-t-il, de t'avoir aimĂ©e ?De t'avoir aimĂ©e, de l'Ăąme et des yeuxÀ en oublier, jusqu'au nom de DieuPour ne plus avoir, qu'un nom Ă  crierQue me reste-t-il, de t'avoir aimĂ©e ?Reste que ma voix, sans Ă©cho soudainRestent que mes doigts, qui n'agrippent rienReste que ma peau, qui cherche tes mainsEt surtout la peur, de t'aimer encoreDemain presque mortDe t'avoir aimĂ©e, aimĂ©e de douleurÀ m'en dĂ©chirer le ventre et le cƓurJusqu'Ă  en mourir, jusqu'Ă  m'en damnerQue me reste-t-il, de t'avoir aimĂ©e ?Ne me reste plusQu'un amour que tuViens d'Ă©carteler- Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 10 Juil 2007 - 204 A la ronde du muguet a la ronde du muguet Sans rire et sans parler Le premier qui rira au piquet pour une fois. Soly AnidjarWEBMASTERNombre de messages 42570Age 70Date d'inscription 13/07/2006Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Mar 10 Juil 2007 - 205 Ca c'est la bombe atomique. ce n'est pas du trafic c'est une chose tres magnifique ca vient d'Amerique C'est les Japonais Qui l'ont bien sonne Des bonbons leur ont donne ils sont capitule. Si tu as une fiancee, qui ne fait que t'agacer donne lui la bombe atomique, ca va lui passer. willa andek chi mra kbeha A'atilha l' bombe atomique Ou tahrab alik. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 PAROLES DES CHANSONS QUI ONT BERCE NOTRE JEUNESSE 1960 Page 1 sur 5Aller Ă  la page 1, 2, 3, 4, 5 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum MAROC PAYS QUI M'A VU NAITRE PAR SOLY ANIDJAR YAHASRA NOS CHANSONS CHOUCHOU HIER ET AUJOURD'HUISauter vers La chanteuse rĂ©aliste FrĂ©hel – interprĂšte de 180 chansons –, nĂ©e le 13 juillet 1891 et dĂ©cĂ©dĂ©e le 3 fĂ©vrier 1951, bĂ©nĂ©ficie cette annĂ©e d’un double anniversaire elle aurait eu 130 ans et elle nous a quittĂ©s il y a 70 ans. À l’occasion de la sĂ©rie de six Ă©missions de Tour de chant » de Martin PĂ©net sur France Musique[1] et de la lecture de la biographie FrĂ©hel de Nicole et Alain Lacombe 1990, revenons sur cette chanteuse Ă  la forte personnalitĂ© qui fascinait le public par sa voix et sa prĂ©sence, elle qui savait si bien chanter la nostalgie, la tristesse, la misĂšre, mais aussi faire valser les couples sur des airs de musette. Selon les tĂ©moins qui eurent la chance de voir FrĂ©hel sur scĂšne, les enregistrements rendent peu compte de son charisme. Dans la salle de concert, elle s’imposait face au public, il ne fallait pas moufter Fermez vos gueules, j’ouvre la mienne ! » C’était une fille de la rue, qui a connu la pauvretĂ© et qui Ă©tait dĂ©pourvue de bonnes maniĂšres. Parmi les chanteuses dites rĂ©alistes », FrĂ©hel ne cherchait pas Ă  crĂ©er un personnage elle Ă©tait spontanĂ©e, Ă  la ville comme Ă  la scĂšne. Les histoires de ses chansons – des mĂ©lodrames de filles perdues, des complaintes de filles-mĂšres, des amours de fortifs – reflĂštent sa vie empreinte de misĂšre, d’amours dĂ©laissĂ©es, d’excĂšs. L’enfance Originaires de Primel-TrĂ©gastel dans le FinistĂšre, ses parents se dĂ©barrassĂšrent rapidement de leur enfant Marguerite en la confiant Ă  la grand-mĂšre maternelle, plutĂŽt portĂ©e sur l’eau-de-vie. NĂ©e dans le XVIIe arrondissement de Paris, sur un boulevard de ceinture, Marguerite Boulc’h, aprĂšs cet exil breton, fut rĂ©cupĂ©rĂ©e cinq ans plus tard par ses parents qui s’installĂšrent Ă  Courbevoie, puis Ă  Levallois. La carriĂšre de la future FrĂ©hel commença dĂšs son arrivĂ©e perchĂ©e sur les tables des cafĂ©s, elle entonnait des succĂšs de l’époque. Les clients lui envoyaient des piĂšces, ce qui incitait sa mĂšre Ă  l’envoyer chanter jusqu’à deux ou trois heures du matin. Jolie Ă©ducation ! Le pĂšre, marin, puis aiguilleur au chemin de fer, profession qui lui coĂ»tera un bras aprĂšs avoir Ă©tĂ© happĂ© par une locomotive, comme la mĂšre, concierge de son Ă©tat, se dĂ©sintĂ©ressĂšrent de Marguerite. Celle-ci, nĂ©gligĂ©e dans tous les domaines, s’éleva seule [
] tout ce que je sais, c’est que j’attendais qu’il pleuve pour me frotter la figure avec la pluie et que je me lavais les pieds dans les ruisseaux de la rue », raconte FrĂ©hel en 1937 dans la Complainte de ma vie, une sĂ©rie d’articles pour Points de vue-Images du monde. L’école n’était pas au programme, puisqu’un enfant se devait, dans ce milieu misĂ©reux, de travailler le plus tĂŽt possible afin de ne pas ĂȘtre une charge. À neuf ans, on la retrouvait au turbin livreuse de boĂźtes Ă  sel dans les brasseries ; dĂ©marcheuse Ă  domicile de rĂ©novateurs faciaux », elle rencontra Ă  cette occasion la Belle OtĂ©ro, une danseuse espagnole et courtisane, cĂ©lĂ©britĂ© parisienne, qui l’a prise sous son aile. Les dĂ©buts À 14 ans, aprĂšs avoir Ă©tĂ© exclue du domicile parental, elle obtint une audition Ă  l’Univers, une brasserie de l’avenue de Wagram, sous le nom de scĂšne de la MĂŽme Pervenche. Son interprĂ©tation fiĂ©vreuse de chansons de MontĂ©hus, un auteur anarchisant, fut concluante. Elle fut engagĂ©e par la suite Ă  la PĂ©piniĂšre, une salle dĂ©diĂ©e aux revues, spectacles qui associaient la chanson, la danse et la comĂ©die. Avant ou aprĂšs les numĂ©ros, FrĂ©hel entonnait des titres qui ne traversĂšrent pas le temps. Son entrĂ©e dans le mĂ©tier ne la sortit pas de la prĂ©caritĂ© elle se nourrissait de cafĂ© crĂšme et dormait sur les banquettes, dans les escaliers ou les arriĂšre-salles. AprĂšs un mariage avec un jeune comĂ©dien, Robert Hollard dit Roberty, en 1907, Ă  l’ñge de 16 ans, elle quitta les banquettes. Mais ce fut de courte durĂ©e, Ă©tant donnĂ© qu’elle Ă©prouvait le besoin de libertĂ©. Pourtant son mari, bon bougre, lui enseignait la diction et lui proposa un nom de scĂšne FrĂ©hel, qui faisait rĂ©fĂ©rence au cap breton. Encore mariĂ©e, FrĂ©hel devint en 1910 la maĂźtresse de Maurice Chevalier, jeune chanteur Ă  la cĂ©lĂ©britĂ© naissante, pendant que Roberty filait le parfait amour avec Damia, une collĂšgue de sa femme. Tout le monde trouvait son compte ! Cet amour passionnel d’un an fut Ă©lectrique entre FrĂ©hel et Chevallier. Celui-ci, qui ne supportait pas la vie dissolue que FrĂ©hel lui proposait, finit par la quitter pour Mistinguett. Depuis 1910, FrĂ©hel Ă©tait devenue une vedette, rĂ©clamĂ©e par les boĂźtes de Montmartre et des boulevards. Elle frĂ©quentait la haute sociĂ©tĂ© qui venait s’encanailler dans ces lieux de plaisir, ses amants Ă©taient des princes, de grands bourgeois europĂ©ens, un futur prĂ©sident d’Argentine
 des boxeurs. Sous l’effet de la cocaĂŻne et de l’éther, elle manquait de respect aux plus hautes personnalitĂ©s qui s’en amusaient. A l’étranger Au dĂ©but de 1914, FrĂ©hel fut cornaquĂ©e par la grande-duchesse russe Anastasia, la cousine de Nicolas II, qui Ă©tait captivĂ©e par cette femme Ă©mouvante qui pleurait comme une madeleine avant de lancer des saillies piquantes. Elle accepta de bon cƓur un tour de chant Ă  Saint-PĂ©tersbourg. Les nuits blanches pĂ©tersbourgeoises l’étonnĂšrent La ribouldingue que j’avais connue Ă  Montmartre faisait figure de bal donnĂ© au chef-lieu du canton en l’honneur de la rosiĂšre. » La Grande Guerre mit un terme Ă  son sĂ©jour et aux bacchanales. Pour une ultime fĂȘte, tous les grands-ducs Ă©taient rĂ©unis pour Ă©couter FrĂ©hel Boris, Dimitri, Cyril, Serge, Michel. Quel succĂšs mondain pour une fille de la rue ! Pour FrĂ©hel, la guerre se passa en Roumanie. L’amour pour un bel et jeune officier commença dans la joie et se termina dans le dĂ©sespoir quand il fut tuĂ© sur le front en 1916. AprĂšs l’armistice, elle s’installa Ă  Constantinople oĂč elle resta cinq ans. Cette ville Ă©tait une zone libre oĂč tous les trafics Ă©taient possibles. Comme la coco » coulait Ă  flots, elle ne s’en priva pas pour anesthĂ©sier ses malheurs. Dans les vapes en permanence, elle passait d’amant en amant, des militaires, car elle aimait l’uniforme. En 1923, elle Ă©tait devenue une Ă©pave, vieillie avant l’ñge, quand l’ambassade la rapatria en France sur un paquebot. Retour Ă  Paname Paris au dĂ©but des annĂ©es vingt avait changĂ©. Le cinĂ©ma s’imposait dans la culture populaire et devenait attirant depuis que les films amĂ©ricains se rĂ©pandaient en Europe ; le music-hall s’était transformĂ© aussi avec l’apparition de rythmes dansants venus d’outre-Atlantique ; la TSF nouvellement apparue diffusait la musique dans les intĂ©rieurs tout comme les disques 78-tours qui devenaient un objet de consommation ; le microphone soutenait la voix du chanteur lors des rĂ©citals les conditions techniques changeaient et il fallait s’adapter. Elle, FrĂ©hel, n’en avait cure et continua de chanter, sans micro. DĂšs son retour Ă  Paname, FrĂ©hel se produisit dans des cabarets et des restaurants pour se chauffer » avant d’effectuer sa rentrĂ©e Ă  l’Olympia, aprĂšs dix ans d’absence. Son directeur, Paul Franck, crĂ©a le slogan restĂ© attachĂ© Ă  l’artiste L’inoubliable inoubliĂ©e ». Si le public Ă©tait dans ces annĂ©es vingt friand de renouvellement, il Ă©tait aussi curieux de revoir la mythique FrĂ©hel. À l’Olympia, elle replaça ses anciennes chansons, tout en introduisant dans son tour de chant des nouveautĂ©s comme Du gris Du gris que l’on prend dans ses doigts / Et qu’on roule / C’est fort, c’est Ăącre comme du bois / ça vous saoule ». Cette chanson avait Ă©tĂ© créée en 1920 par Berthe Sylva, puis reprise par une plĂ©iade d’artistes. Comme le remarquent Nicole et Alain Lacombe dans leur biographie, Une chanson dans les annĂ©es vingt Ă©tait rarement la propriĂ©tĂ© d’un seul chanteur. » L’Olympia fut un triomphe et FrĂ©hel revint aux affaires. CinĂ©ma À la fin des annĂ©es vingt, FrĂ©hel renouvela son rĂ©pertoire et l’étendit avec des chansons aux thĂšmes traditionnels Comme un moineau, La zone, La chanson des fortifs, des musettes La java bleue, des nostalgiques J’ai l’cafard, Comme une fleur, OĂč sont mes amants, des autoportraits La coco, À la dĂ©rive, Dans la rue et humoristiques La mĂŽme caoutchouc, Tel qu’il est, La mĂŽme catch-catch. C’est grĂące au cinĂ©ma que nous conservons l’image de FrĂ©hel en situation. Les mains sur les hanches face Ă  son public, sa gestuelle Ă©tait rĂ©duite, mais l’émotion passait par la voix et les expressions du visage. Dans les annĂ©es trente, les cinĂ©astes firent appel Ă  ses services pour son physique atypique, loin du glamour ambiant. Les personnages qu’elle incarnait Ă©taient en adĂ©quation avec sa vie de chanteuse de goualante. Sur sa vingtaine de films, demeure PĂ©pĂ© le Moko 1936 de Julien Duvivier avec Jean Gabin et Mireille Balin. FrĂ©hel joue le rĂŽle de Tania, une chanteuse oubliĂ©e exilĂ©e dans la casbah d’Alger Quand j’ai trop le cafard, je change d’époque », dit-elle Ă  PĂ©pĂ© » en Ă©coutant sur un phonogramme OĂč est-il donc ? de 1926, une de ses chansons les plus cĂ©lĂšbres et Ă©mouvantes qui exprime la nostalgie du Paris de sa jeunesse. Autant dire que FrĂ©hel et cette chanson font corps OĂč est-il mon moulin de la place Blanche ? / Mon tabac et mon bistro du coin ? / Tous les jours Ă©taient pour moi dimanche ! / OĂč sont-ils les amis, les copains ? / OĂč sont-ils tous mes vieux bals musette ? / Leurs javas au son de l’accordĂ©on ? / OĂč sont-ils tous mes repas sans galette ? / Avec un cornet de frites Ă  dix ronds / OĂč sont-ils donc ? » Dans les annĂ©es quarante, FrĂ©hel continua son mĂ©tier en France occupĂ©e et fit des tournĂ©es en Allemagne pour les prisonniers et les travailleurs STO. À la LibĂ©ration, elle aura quelques ennuis, sans gravitĂ©. L’aprĂšs-guerre fut son chant du cygne, dans la mesure oĂč elle Ă©tait passĂ©e de mode, mĂȘme si elle ne l’avait jamais Ă©tĂ©. La consommation constante d’alcool ne l’aida pas Ă  renouer avec le succĂšs. Les derniĂšres annĂ©es, le corps fatiguĂ©, elle subsista en chantant, en attraction, dans les cinĂ©mas de quartier. En 1951, elle meurt dans un hĂŽtel de Pigalle Ă  l’ñge de cinquante-neuf ans. Bien que FrĂ©hel n’ait pas eu la carriĂšre internationale d’Édith Piaf, elle est restĂ©e dans les mĂ©moires une chanteuse sincĂšre et naturelle. Didier Sailllier Octobre 2021 Nicole et Alain Lacombe, FrĂ©hel, Éditions Belfond, coll. Voix », 1990, 309 p. [1] L’émission Tour de chant », consacrĂ©e Ă  la chanson, est diffusĂ©e le dimanche de 12 h 30 Ă  13 heures. Les six Ă©missions sur FrĂ©hel, qui ont Ă©tĂ© diffusĂ©es du 9 mai au 20 juin 2021, sont Ă  réécouter sur le site de France Musique. Lien du premier volet Photo FrĂ©hel, annĂ©es 1930. Gamma-Keystone © GettyImages. Anecdotes racontĂ©es par FrĂ©hel FrĂ©hel, Ă  16 ans, est invitĂ©e Ă  dĂźner chez Mollard Brasserie cĂ©lĂšbre de la rue Saint-Lazare par le baron Camille de Lillers AprĂšs [avoir mangĂ© des huitres] on nous a donnĂ© un bol avec un rond de citron qui faisait la planche. Moi qui toussais, j’ai jugĂ© l’attention dĂ©licate de la part du baron. J’ai bien trouvĂ© que mon grog manquait d’alcool, mais pour ne pas faire de peine au baron, je l’ai bu jusqu’au bout. Il a eu l’air gĂȘnĂ© et je ne l’ai jamais revu. Il a dĂ» retourner aux poseuses qu’il avait l’habitude de frĂ©quenter. OĂč avais-je appris, moi, l’usage d’un rince-bouche ? » À 19 ans, FrĂ©hel chante Ă  l’Abbaye et Albert Volterra son directeur la prĂ©vient de chanter des chansons correctes car le prince Antonio de MontĂ©nĂ©gro allait venir incognito. FrĂ©hel – qui ne connaĂźt pas le sens du mot incognito – s’attend Ă  voir venir un prince de haute stature en manteau d’hermine avec une couronne sur la tĂȘte ». Elle ne voit personne de ce genre, alors elle chante La Petite Bonne Femme aux paroles salaces. Albert Volterra est furieux — Tu es virĂ©e, me dit-il entre ses dents, tu peux faire tes paquets, c’est le dernier soir que tu chantes ici. — De quoi, de quoi, je lui dis. Qu’est-ce qui te prend ? — Parle moins fort. Tu sais ce que tu m’avais promis pour le prince. Tu t’es foutue de moi. — Un prince oĂč vois-tu un prince ? OĂč qu’il est ton prince ? — C’est moi, mademoiselle, dit quelqu’un non loin de moi. Je regarde avec stupĂ©faction un gros bonhomme qui avait une tache de vin sur la figure, en veston, le col couvert de pellicules. La colĂšre m’a prise d’un coup. VirĂ©e pour virĂ©e, il m’en fallait pour mon argent. Et puis, quand j’ai quelque chose Ă  dire, il faut que ça parte ; on ne me changera pas. — Vous n’ĂȘtes qu’un dĂ©gueulasse, fais-je au prince. Je ne sais pas au juste de quoi vous ĂȘtes roi, mais vous seriez le roi des c
 que je n’en serais pas Ă©patĂ©e. » Entre 1911 et 1914 J’engueulais le client et je n’y allais pas de main morte, je vous prie de le croire. Un jour, j’ai collĂ© Ă  un Rothschild, qui m’avait donnĂ© quarante ronds Ă  ma quĂȘte, sa piĂšce sur le crĂąne, en lui disant — Tout ce qui brille n’est pas or, mon petit lapin ! » Au printemps 1914, Ă  Saint-PĂ©tersbourg, FrĂ©hel chantait chez les frĂšres Alexandrov Ă  l’Aquarium. La violence scandait la vie de la capitale. Un souvenir de FrĂ©hel Germaine Fabiani, trĂšs fĂȘtĂ©e en Russie Ă  ce moment-lĂ , avait pour amant un trĂšs grand personnage de l’armĂ©e et de la cour, que je ne peux nommer. Homme superbe de prestance et de force, il devenait dans l’ivresse d’une violence sauvage. Quand entrait Germaine Fabiani, il voulait que tous les orchestres se taisent pour ne plus jouer, tant qu’elle Ă©tait lĂ , que les chansons de Fabiani. Une nuit, un chef d’orchestre, un nouveau, refusa d’interrompre son morceau. Je vois encore l’autre se lever dans son uniforme de la Garde, bleu avec un lisĂ©rĂ© rouge, je revois l’éclair d’un sabre, et le malheureux musicien s’écroulant, la tĂȘte tranchĂ©e. Il y eut un remous, un ou deux cris ; un autre orchestre attaqua immĂ©diatement, des bouchons de champagne sautĂšrent. DĂ©jĂ  Nicolas Glass [le chef des maĂźtres d’hĂŽtel] avait fait enlever le cadavre et sa tĂȘte, nettoyer le sang. La fĂȘte continuait Glass s’est sans doute contentĂ© de faire figurer l’infortunĂ© chef d’orchestre sur la note. » FrĂ©hel est Ă  Bucarest aprĂšs la dĂ©claration de guerre de 1914. La future Marie de Roumanie s’amusait de la gouaille de FrĂ©hel. On disait dans les salons de Bucarest qu’elle Ă©tait si parisienne, si française. AprĂšs le concert, il y eut bal. La princesse autour de qui on faisait cercle, me fit signe d’approcher. — Que puis-je faire pour vous ĂȘtre agrĂ©able, mademoiselle ? me dit-elle. Quelle belle prestance, quel port vraiment royal elle avait, ainsi debout ! Une croix en brillants Ă©tait le bijou qu’elle portait. — Elle est belle, dis-je en regardant la croix. Quel est le maquereau qui vous a donnĂ© cela ? Elle sourit, montrant ses dents qui sont belles et fortes. — Le prince, mon Ă©poux, dit-elle. Et regardant malicieusement le petit mĂ©daillon qui pendait Ă  mon cou — Je vous la donne, ajouta-t-elle, en Ă©change de votre mĂ©daillon [donnĂ© par le jeune et bel officier roumain EugĂšne Diamandescu, amant de FrĂ©hel.] — Ah non, fis-je vivement. La princesse accentua son sourire — C’est Ă  cause de ce qu’il y a dedans n’est-ce pas ? Je connais votre secret. Je sais que vous aimez la Roumanie et les Roumains. Vous avez en moi une amie. » Souvenirs de Maurice Chevallier FrĂ©hel Ă©tait une des plus jolies femmes de Paris. En fait de plaisanteries, elle se permettait tout, et on lui pardonnait. C’est ainsi qu’un soir, s’adressant Ă  une reine — Eh bien, ma vieille, tu ne crois pas que ton collier irait mieux sur mon cou que sur le tien ? — Quand vous aurez mon Ăąge, vous en aurez peut-ĂȘtre un, rĂ©pondit la reine en souriant. — Tu as raison, je ne suis pas encore assez moche pour avoir des bijoux. » TĂ©moignage d’une danseuse Un aprĂšs-midi de 1938, au mĂ©tro Anvers, je suis tombĂ© en arrĂȘt devant une grande femme, probablement soĂ»le, affaissĂ©e au pied d’un arbre. Un car de police s’est bientĂŽt arrĂȘtĂ© pour embarquer cette pocharde. Mais elle a fait face aux fics. Elle leur a hurlĂ© “Foute-moi la paix, je suis FrĂ©hel, oui FrĂ©hel la chanteuse.” C’était bien elle, en effet, mais les agents refusaient de la reconnaĂźtre. Je suis allĂ© les trouver. Je leur ai dit “Vous ne pouvez pas embarquer notre grande FrĂ©hel.” Ils ont hĂ©sitĂ© un instant et j’ai pu glisser Ă  l’oreille de la malheureuse “Chantez, madame, je vous en prie, chantez !” Alors, les mains sur les hanches, les jambes Ă©cartĂ©es, dessoĂ»lĂ©e comme par enchantement, elle a entamĂ© La Java bleue avec autant de force, autant de fougue qu’au temps oĂč les foules l’acclamaient. AussitĂŽt, les badauds se sont pressĂ©s autour de leur ancienne idole, stupĂ©faits d’ĂȘtre les tĂ©moins de cet authentique miracle. Un brigadier a murmurĂ© “Comme c’est triste de finir ainsi !” Puis il a rappelĂ© ses hommes et le panier Ă  salade est reparti Ă  vide. » Anecdotes tirĂ©es de la biographie FrĂ©hel de Nicole et Alain Lacombe. InterprĂštes Autrefois YahvĂ© vint prendre thĂ© / Chez son vieux pote Abraham / Il lui dit Mon vieux, t’as l’air de douter / Je dois Ă©prouver ton Ăąme / Si tu crois en moi, si j’ai ton soutien / En un mot, si t’as 
 J’ai la nostalgie des amours anciennes / Aux parfums d’étĂ© habillĂ©s de vous / Vous Ă©tiez dimanche au cƓur des semaines / Vous Ă©tiez dimanche et l’air Ă©tait doux / Que sont devenues les saisons ancienn
 Lorsque la source vive / DĂ©chirera la neige / Pour boire la lumiĂšre / Lorsque le champ de blĂ© / DĂ©couvrira son corps / Au pas de la bergĂšre / / Alors dans ma maison y’aura du pain, ma mie / Alors dan
 Je voulais t’offrir une chanson douce / Un petit lit d’herbe oĂč te reposer / Une plage d’ombre Ă  l’odeur de mousse / Un petit ruisseau pour nous y baigner / Mais voici l’hiver plus d’herbe ne pousse /
 Au milieu de nous deux, y’a cet amour si tendre / Si tendre qu’on a peur qu’il s’égare en chemin / DĂšs qu’on le croit perdu, c’est lui qui vient nous prendre / Comme un enfant nous prend quand il nous
 Nous irons jouer dans l’üle / Au jardin de nos amours / Souviens-toi des bois de l’üle / Et des feuilles en abat-jour / / Le moindre sentier au sous-bois de ton corsage / Et la moindre plage est une 
 Toutes les autoroutes / Se ressemblent la nuit / Elles sont sans dĂ©route / Et dĂ©roulent l’ennui / Des villes d’oĂč elles viennent / Et des villes oĂč elles vont / Mais jamais ne parviennent / À percer 
 Avec le vent qui va dansant / Aux bras des arbres du printemps / Depuis le fond des bois jusqu’à la mer / En passant par ta rue / Moi je m’en vais oĂč tu m’emportes / Loin des sentiers, des feuilles mo
 Avec une craie blanche au dos des trottoirs gris / Dessinent les enfants des tombes pour les feuilles / Et le vent vient levant se mĂȘler Ă  leurs cris / Mais ce sont nos vingt ans que les enfants dĂ©feu
 À vingt minutes du centre-ville / J’habite une jolie maison / Dans une banlieue propre et tranquille / Loin du bruit et d’la pollution / Chaque matin je me rĂ©veille / Dans la fidĂšle fatalitĂ© / De l’au
 Moi je suis d’une ruelle / Comme on est d’un village / Entre les hangars de tĂŽle / Pis les sacs Ă  poubelle / Entre la Huit pis la Neuf / Entre la Deux pis la Trois / Entre l’école pis l’église / Ma p’
 Y’en a qui partent sans dĂ©jeuner / D’autres qui font rien sans leur tĂ©vĂ© / D’autres que c’est l’sexe avant de manger / Chacun son style, moi c’est moins gai / Ma journĂ©e peut pas commencer / Tant qu’l
 Y’a des repas pour deux pas chers / Service et vin compris / Avec un peu d’chance, le dessert / On se le sert au lit / Y’a parfois de jolis festins / À la loterie des fesses / Parfois mĂȘme un bout de 
 C’est en toi que je veux mourir / Mon amour d’une amour si belle / Que les Ă©tĂ©s de fleurs nouvelles / N’en finiront plus de fleurir / Ton corps y sera mon tombeau / Sur le chemin des jours de gloire /
 Dans la fumĂ©e oĂč s’esquissent et s’effacent / Les masques flous des invitĂ©s fugaces / Ça sent l’encens, le Maroc et la Main / Ça danse le rock, le tango et le plain / Le Roi de Pique vient de porter u
 Dans le ventre engourdi / De l’avion qui grignote / En l’émiettant, la nuit / Les voyageurs repus / Sous l’écran qui clignote / Ne parlent presque plus / Le film est ennuyeux / Un soldat meurt au fr
 Dans le bar de l’hĂŽtel / OĂč je chante au piano / Tu reviens t’asseoir chaque soir / Toujours plus seule et belle / Devant ton Cinzano / Tu m’auras souri dans le noir / Ce n’est qu’une chanson, madame 
 C’est vrai qu’elle a de jolis yeux / Et quand le ciel parfois se brouille / J’y vois deux grands soleils qui mouillent / Bleus nous le gris verts sous le bleu / C’est vrai qu’elle a de jolis yeux / /
 J’ai tressĂ© une chaĂźne / Pour t’attacher le cƓur / Plus chaude que la laine / Plus douce qu’un bonheur / Moi j’en ferai ta couche / J’en ferai ton pommier / Et le vent sur ta bouche / Se fera baiser /
 Il neige tout sommeille / L’hiver couvre nos pas / Je reste si tu veilles / Ne m’abandonne pas / / Le vent dehors a tout glacĂ© / Oh! souviens-toi de la tendresse / Au fond de nous chaque jour laisse 
 Les doigts de la pluie jouent sur le toit / Une mĂ©lodie de je ne sais quoi / Sur le bureau, mon dactylo / Cherche des mots qui riment en o / Qui riment en i avec la pluie / Avec la nuit, avec l’ennui
 Y’a des poissons dans l’eau / De l’eau dans la riviĂšre / Et ta main dans la mienne / / AttachĂ©s l’un Ă  l’autre et plus libres pourtant / Nous allons traversant larmes et cimetiĂšres / Le temps s’est f
 Est-ce la joie de vivre ou la mĂ©lancolie / Est-ce le vent d’hiver ou le soleil d’étĂ© / La pivoine au jardin la guerre ou la folie / Ma mie dis-moi pourquoi j’ai le goĂ»t de chanter / / Est-ce la feuil
 Le chanteur indigĂšne a sorti son violon / Son gazou, sa bombarde et son accordĂ©on / Enfin la panoplie des accessoires ethniques / Qui pĂąment les Français et rĂ©veillent nos critiques / / Le chanteur i
 Les cheminĂ©es sont hautes / Et lourdes les fumĂ©es / Les loyers sont trop chers / Et c’est si dur d’aimer / / Chez nous c’est pas la mer / Ni les bois ni l’espace / C’est les autos qui passent / Et le
 Moi j’aime les choses inutiles / Les bonheurs tranquilles / Qui ne coĂ»tent rien / Les couchers de soleil sur la ville / Les bibelots dĂ©biles / Les orchestres anciens / Le chant des bruants sur les fil
 Quelques fois ma maĂźtresse / D’autres fois ma sƓur / Quelques fois mon ivresse / D’autres fois ma peur / Quelques fois ma sagesse / D’autres fois ma folie / Mais toujours en amour / Mon amour mon a
 VoilĂ  que fanent les annĂ©es / Comme les roses / VoilĂ  que meurent les annĂ©es / Avant qu’écloses / Vous qui dansez Ă  l’ombre des grands houx / Joyeux bergers des pays de silence / Ah! Dites-moi si l’am
 C’est l’hiver Ă  longueur d’annĂ©e / Et l’encre gĂšle dans ma plume / Les mots se sont dĂ©racinĂ©s / Dans ma cervelle de bitume / Faut croire que je suis mal programmĂ© / Faudrait consulter l’IBM / J’ai la 
 Sur les murs de la classe / Chaque lundi matin / De vieilles poussiĂšres lasses / Font des psaumes en latin / Puis elles parlent de Rome / Et des beaux jours anciens / Moi je croque ma pomme / Et je n’
 Chaque nuit pendant son sommeil / Le pays rapetisse dans son lit / Si on le voit pas quand on se rĂ©veille / C’est p’t-ĂȘtre qu’on rapetisse nous autres aussi / / Le printemps rapetisse / L’étĂ© rapetis
 C’était un soir de mai / A l’hĂŽtel de septembre / Elle Ă©tait trop jolie / Pour se tromper de chambre / Moi j’étais trop perdu / Pour ne pas la trouver / Et nous Ă©tions trop seuls / Pour ne pas nous ai
 Marcher sur les chemins d’étĂ© / Une fleur Ă  la bouche / Si prĂšs de l’ñme de l’étĂ© / Si prĂšs que l’on y touche / Parler sans les mots du regard / À l’aube qui frissonne / Chanter sans plus jamais savoi
 J’prends mon journal, j’me trouve un banc / MĂ©tro Beaugrand / Nouveau plafond pour l’inflation / À Radisson / Comment ce qu’on va payer l’loyer / Sur Langelier / J’ai l’goĂ»t d’descendre Ă  Cadillac / 
 Je sais qu’on se rencontrera / Un aprĂšs-midi de dĂ©cembre / Un soleil distraitement las / S’en viendra flĂąner dans la chambre / OĂč le hasard nous mĂšnera / En ayant l’air de se mĂ©prendre / Mais je sais 
 Coule, ruisseau des jours perdus / Coule ton eau, lĂšche ta rive / Je passe le pont et j’arrive / Aux sables des pas inconnus / Coule, mon nom, au loin dĂ©rive / Et porte au fond ce que je fus / / Cote
 DrĂŽle de pays qu’on pensait bĂątir y a dix ans / DrĂŽle de pays qu’on pense maint’nant faire dans vingt ans / En attendant d’ĂȘtre sur la carte on fume son joint / On prend son coup chacun tranquille dan
 Ca fait quinze ans que j’magasine / Au supermarchĂ© du savoir / Et si l’école, c’est pas l’usine, / J’suis pas payĂ© pour le savoir / J’aurai mon diplĂŽme en chĂŽmage / A la fin d’la prochaine session / J
 Depuis Charlesbourg / jusqu’à Gravelbourg / de Rouyn-Noranda / Ă  Saint-Jean-d’-Matha / via Fatima / un soir Ă  Paris / l’autre Ă  Ville-Marie / j’ai prom’nĂ© mes chansons de ville en ville / j’en ai fait
 J’ai perdu mon Chemin / Que’qu’ part entre Malibu / Et Ville d’Anjou / Si vous le voyez passer / Dites-lui de me tĂ©lĂ©phoner / À frais virĂ©s / Sans mon chemin dessous / Mes pieds sont comme un peu soĂ»l
 C’est janvier c’est janvier / Depuis tellement d’annĂ©es / Que mĂȘme les plus anciens / Ont oubliĂ© l’étĂ© / C’est janvier dĂ©solĂ© / Sur ma terre natale / Avec ses neiges dĂ©mentes / Et ses froids secs et b
 J’suis v’nu au monde d’une erreur de calcul / Ma moman s’est trompĂ©e de pilule / Mon popa changeait trop de position / En sortant je soufflais dans l’condom / / À l’école ma maĂźtresse m’a trompĂ© / On
 J’habite une Ă©trange maison / Dont les enfants sont les fenĂȘtres / Jouant des vents et des saisons / Que nul n’y puisse reconnaĂźtre / Les murs d’une ancienne prison / OĂč vont parmi nos amours nues / L
 J’ai coupĂ© la ficelle / Du plus haut cerf-volant / DessinĂ© sur ses ailes / Mes images d’enfant / Un chat blond, une orange, / Un vieil harmonica, / Gare Ă  qui le dĂ©range / Il s’en repentira / / J’ai 
 Le tĂ©lĂ©phone / La porte qui sonne / Le stĂ©rĂ©o / Contre la radio / Le violoncelle / Dans la poubelle / Rapport d’impĂŽt / Et mal au dos / / TempĂȘte de neige / C’est le manĂšge / OĂč les charrues / B
 Y a pas grand monde Ă  soir au Junction One-O-One / et le soleil couchant de la Saskatchewan / passe Ă  travers les stores et s’attable avec moi / pour jaser d’son ennui parler de mon Ă©moi / / Dehors y
 Une ombre passe / Grise au milieu du gris / Au cƓur des jours / Le fruit pourri / Des amours qui manquent d’amour / Les murs ont pris / Bien trop de place / Ne baisse pas tes yeux / J’ai besoin de voi
 Il pleut il neige et les jours passent / J’attends je ne sais quoi j’attends / Je ne sais qui au loin j’entends / Mozart les trains fendent l’espace / Je me trompe c’est Stravinski / Il fait noir la t
 J’ai perdu trop de temps / Dans les livres / J’ai perdu trop de temps / Loin de vivre / J’ai perdu trop de temps loin de toi / Mais maintenant / Le temps qu’il me reste, c’est pour toi / / J’ai perdu
 J’imagine une ville une ville au soleil / À l’échelle du monde une ville est Ă  faire / Pour l’arbre et pour ses fruits pour l’homme et pour ses fils / Pour la vie Ă  venir j’imagine une ville / / La f
 Les faisceaux des phares tracent / Des fantĂŽmes qui s’effacent / À mesure que l’ombre les reprend / Et je roule dans la nuit / Sur des routes oĂč rien ne luit / Que la ligne blanche de temps en temps /
 J’ai jamais su rentrer dans l’rang / Jamais su devenir grand / J’ai toujours eu peur dans la noirceur / Et dans les ascenseurs / Loin des foules et loin des autoroutes / J’prĂ©fĂšre les p’tites routes 
 Quand j’avais dix ans / Ma mĂšre m’a dit mon enfant / Qu’est-ce que tu vas faire / Quand tu seras grand / J’ai dit ne t’en fais pas / On verra ça dans le temps / C’est plus important / / Je ne veux p
 Je t’aime plus que je ne peux le dire / Laisse mes yeux laisse mon corps parler / Laisse ma vie mais ça ne peut suffire / Je t’aime plus qu’on ne peut le chanter / Je sais je sais que l’amour nous res
 Il est au fond de moi / Perdue dans mes ruelles / Une chambre oĂč parfois sur un piano d’occasion / Un nĂšgre fraternel / Joue le blues Ă©ternel / Les yeux dans les fumĂ©es bleues / De ses mĂ©gots de ses r
 La seule fois que je t’ai vu / A la tĂ©lĂ© en soixante-sept / T’avais l’air d’un bĂ»cheron perdu / Dans sa lĂ©gende de poĂšte / Si je t’ai cru presque parent / C’était peut-ĂȘtre, malgrĂ© moi / Juste Ă  cause
 Tu feras comme si tu passais par hasard / Tu ne sonneras pas tu ouvriras la porte / Tu diras me voici et d’un simple regard / Nous nous reconnaĂźtrons malgrĂ© les annĂ©es mortes / / Tu seras courbatu d’
 C’est une vieille gomme qui t’colle au pied / Une dent qui tombe de ton dentier / C’est un Pepsi qu’t’as renversĂ© / Avant d’avoir bu une gorgĂ©e / C’est l’autobus qui t’passe au nez / En prenant soin d
 On a retrouvĂ© / La clĂ© du piano / Elle Ă©tait cachĂ©e / Dans un album de vieilles photos / / On n’ose pas penser / Que ce soit mamie / Mais elle ne jouait plus / AprĂšs que grand-pĂšre est parti / / De
 La corde de la / S’est cassĂ©e sur la / Guitare que tu m’avais laissĂ©e / En souvenir du temps / Innocent d’antan / Qu’ensemble nous avions traversĂ© / / Y rĂ©sonnent encore / Les lointains accords / Des
 La nuit est douce / Repose-toi / La rose pousse / Entre tes doigts / Entre tes reins / Un lit de mousse / La nuit est douce / Et sans chagrin / / La nuit est douce / Ferme les yeux / L’or Ă©clabousse
 La pluie au vent qui se rĂ©pand / Est mon rire qui pleure d’elle / S’en sont allĂ©es les hirondelles / Au temps qui rit au temps qui ment / La pluie au vent me souvient d’elle / / Les doigts mouillĂ©s d
 La rĂšgle du jeu, c’est qu’il n’y’en a pas / Le terrain c’est la coulisse / Les anciens enfants qui s’amusent lĂ  / Sont tous plus ou moins complices / Certains jouent les bons, d’autres les mĂ©chants / 
 On a remisĂ© dans le vieux hangar / Le train, les jonquilles et le chef de gare / Le violon d’HĂ©lĂšne, l’écharpe volĂ©e / C’est l’histoire d’un film jamais terminĂ© / On n’était que trois, mais on Ă©tait f
 J’m’ennuyais, j’m’ennuyais / J’me suis dit J’vas m’tĂ©lĂ©phoner» / J’m’ennuyais, j’m’ennuyais / J’me suis dit J’devrais m’tĂ©lĂ©phoner / Pour prendre de mes nouvelles / Pis pour me dĂ©sennuyer» / / Ma
 Il Ă©tait embaumeur mais jouait du trombone / Et les jours oĂč personne ne daignait trĂ©passer / Seul entre ses cercueils et son vieux gramophone / Il prenait des chorus avec Tommy Dorsey / / Y’a pas de
 Le dĂ©putĂ© ModĂšle / Le bon reprĂ©sentant / Se r’connaĂźt Ă  son zĂšle / S’il lui reste du temps / Quasi apostolique Prends soin de visiter / Pour la chose publique / Les gens de son comtĂ© / / Toute sa 
 Ça passe comme un rĂȘve / Entre nos rives grises / Ça charrie comme un goĂ»t / D’aller chercher plus loin / C’est comme un peu du large / EcartĂ© dans nos rues / Du large qu’on appelle / Et qu’on ne pren
 Je m’effiloche par les bouts / Ă  petits coups je me dĂ©couds / mais j’toffe / pour combien d’temps ça j’le sais pas / peut-ĂȘtre bien que j’avais pas / l’étoffe / en attendant j’fais du piano / dans un 
 Moi si j’avais le choix je deviendrais facteur / y a pas plus beau mĂ©tier que de porter des lettres / des quatre coins du monde aux quatre coins du cƓur / en valsant chaque jour sur quelques kilomĂštre
 Il est temps de joie il est temps de peine / Il est un mois d’octobre il est un mois de mai / Il est un seul dimanche et six jours de semaine / Mais c’est toujours ma mie le temps de nous aimer / / L
 Quand reviendra le temps des chansons / Quand nous aurons trouvĂ© le refrain / Dont tous nos airs anciens n’étaient sans le savoir / Que les couplets Ă©garĂ©s / Dans la neige / / Quand reviendra le tem
 Les amours de quinze ans s’en vont sur les trottoirs / Menant main dans la main leur cƓur Ă  la fontaine / On les voit tendrement qui traversent le soir / Les amours de quinze ans s’en vont Ă  la fontai
 Les chemins sont durs plus qu’on ne le pensait / La mort est au bout de chaque demeure / Encore une fleur que le vent dĂ©fait / Encore une fleur et nos mains se meurent / À vouloir tout prendre et si p
 Les fruits dessous les fleurs nous parlent de septembre / Et de l’éternitĂ© / Je te porte en mes mains / Le doux jardin et l’ambre / OĂč nous aurons Ă©tĂ© / Un peu chacun de l’autre / Et la profonde ch
 Salut Sylvain, comment ça va vieux frĂšre / Tu m’exuseras si j’ai pas trouvĂ© l’temps / D’t’écrire avant, mais y s’passe trop d’affaires / Pis Toronto c’est pas la rue Saint-Jean / Ça fait six mois que 
 Je voulais t’écrire une lettre / Mais voilĂ  je ne trouve pas / Les phrases qu’il faudrait y mettre / Pour te parler de moi sans toi / Pour te dire qu’il fait beau temps / Mais que sans toi tous les pr
 Quand j’ai pris le chemin / Des lignes de ta main / Je me suis endormi / Sur ta ligne de vie / J’ai perdu la cadence / Sur ta ligne de chance / DĂ©sormais plus de fleurs / Sur ma ligne de cƓur / / /
 Fragile entre mes doigts si fleur et si mĂ©tal / Je t’aime / Comme l’herbe s’éveille au soleil matinal / Je t’aime / Tu m’es venue comme la vie comme le sang / Je t’aime / Ô toi mon cƓur battant mon
 Toi qui reviens de long voyage / Toi qui reviens des mondes inconnus / Dis-nous le goĂ»t des paradis perdus / Qu’as-tu vu / J’ai vu sur l’étoile des Mages / Deux amants fous sur une plage / S’aimer sau
 Ce soir la lune est un peu grise / On a trinquĂ© / A la santĂ© de nos valises / Et des pavĂ©s / OĂč l’on titube tous les deux / La lune et moi, on est poĂštes / Et sa valise – devine un peu – / C’est la p
 Marie-HĂ©lĂšne vient juste d’avoir vingt ans / Ça fait six mois qu’est en appartement / Sur les murs blancs d’un p’tit troisiĂšme Ă©tage / Rue Saint-Denis, est partie en voyage / / Marie-HĂ©lĂšne a pourtan
 Moi je me shoote aux dĂ©cibels / Des Rolling Stones Ă  Pachelbel / Mettez d’la ouate si ça fait mal / J’ai deux cent watts dans chaque canal / / J’ai trafiquĂ© tous les gadgets / Suffit qu’on vende pou
 Vingt-cinq ans dans cuisine / Les couches pis les comm’ssions / Le mĂ©nage, le lavage / Le r’passage pis les r’pas / Les enfants mettent mĂȘme pas / Leur linge sale dans l’panier / Ben sĂ»r, moman est là
 J’ai cassĂ© / Les mots / Comme un miroir / En mille morceaux / J’ai plus rien / Que des bouts / Dans ma bouche / Comme des cailloux / / Et je suis / À bout / À bout de phrases / À bout de tout / De s
 Quand sur les bords du Saint-Laurent / Un petit mouton vient Ă  naĂźtre / SitĂŽt son papa lui apprend / Ce que tout mouton doit connaĂźtre / Qu’il n’existe qu’une maniĂšre / De moutonner paisiblement / C’e
 C’est un paysage toujours Ă©tonnĂ© / Que les condos l’aient pas bouffĂ© / Y a le p’tit village toujours accrochĂ© / Entre la mer et l’étĂ© / Et puis y a l’mĂ»rier sauvage / Qui sert de cafĂ© du coin / À tou
 Sait-on jamais qui chante Ă  travers nos chansons / J’entends que d’autres voix se mĂȘlent Ă  la mienne / Je les reconnais mal ensemble elles me viennent / Comme un torrent secret l’hiver sous les glaçon
 Nous marcherons plus loin / Que le bout des chemins / Jusqu’à la source froide / OĂč nos pĂąles poussiĂšres / S’en iront dans le vent / D’un humide matin / Et feront une fleur / En notre cimetiĂšre / / A
 La lampe basse et le divan / La table devant la fenĂȘtre / Les rideaux bleus sur le mur blanc / Il me semble voir apparaĂźtre / La ville avec ses toits anciens / Dans le lointain les bateaux pĂąles / OĂč 
 Elle arrive sans souliers / Comme un rĂȘve familier / Qu’on faisait sans se le dire / Au tournant de l’escalier / / Elle apporte le matin / Dans ses yeux comme un jardin / Un Ă©tang vert oĂč se mire / Q
 Quand le soleil de chaque jour / Qui s’entĂȘte Ă  couvrir de chance / Ce qu’il reste de nos amours / Contre toute espĂ©rance / Dans le moindre rire d’enfant / Dans le moindre chant qui rĂ©ponde / Aux rĂȘve
 Oui nous irons Ă  Old Orchard c’t’étĂ© / OĂč l’air salin vient douc’ment se mĂȘler / Aux parfums d’frites pis de hot-dogs steamĂ©s / OĂč l’bruit des vagues au bruit des rails / des montagnes russes vient s
 Des jours, elle me comblait de roses / Des jours, elle m’accablait pour rien / Des jours morons», des jours moroses / Des jours magie, des jours matin / / Des jours, il se passait des choses / Des j
 Je suis d’une espĂšce menacĂ©e / D’une espĂšce en voie d’extinction de voix / Ni autochtone ni cĂ©tacĂ© / La destinĂ©e, la rose au bois » / J’ai des silences qui sont des cris / Des bĂ©mols qui sont des abr
 Partir, pour refaire Ă  son tour le tour de / ce vieux monde / Partir, pour savoir Ă  son tour que la Terre / est bien ronde / Partir, je l’ai fait plus souvent qu’à mon tour / Sans retour / / Partir, 
 Bien sĂ»r on connaĂźt votre histoire / Pour l’avoir lue dans vos journaux / Un peu trop souvent pour y croire / Vous ĂȘtes partis de zĂ©ro / Vos succĂšs n’ont pas de mystĂšre / Et qui pourrait vraiment dout
 Laissez-la tranquille dans le fond du bar / Avec ses Camel, avec son cafard / Laissez-la trinquer avec ses souvenirs / À la santĂ© de l’avenir / Elle sait plus comment dĂ©ployer ses ailes / Laissez-la 
 Dors c’est l’heure de dormir / Dors ne pleure plus / Dors la lune est Ă  ton carreau qui t’attend / Dors la vie viendra bien assez vite te prendre / Dors c’est l’heure de dormir / Dors / / Ta mĂšre est
 C’est un petit dĂ©sespoir / de rien du tout / un blues qui travaille au noir / et qui s’en fout / de te voir dĂ©river tout seul / c’est jamais lui qui t’engueule / les jours oĂč tu joues plus / les jours
 Petit matin sans horizon / Petit cafĂ©, fumĂ©es d’usines / Je r’garde le derriĂšre des maisons / Les femmes sont Ă  leurs cuisines / Y a des oiseaux qui s’font la cour / Sur les fils du Bell TĂ©lĂ©phone / E
 J’ t’ai vu Ă  la tĂ©lĂ© / Place T’ien an Men / Pantomime Ă©garĂ© devant les chars d’assaut / Ils avançaient vers toi / Place T’ien an Men / Mais toi, tu continuais tes grands gestes d’oiseau / Soudain to
 Pour me souvenir de gel et de vent / Mon Ăąme poudreuse a vĂȘtu mes mots / D’un doux givre / Avant d’éteindre veilleuse / Je veux vous lĂ©guer comme en testament / Ma chanson frileuse / / Ne me parle 
 J’ai voulu mesurer le poids de ta prĂ©sence / Et je n’ai rien trouvĂ© que quatre Ă©ternitĂ©s / J’ai voulu regarder plus loin que le silence / Et j’ai trouvĂ© ton nom au cƓur de mon baiser / Quand finira le
 C’était un professeur notoire / C’était un illustre savant / Un de ceux qui sont loin devant / Oyez sa dramatique histoire / Il avait l’air bien ordinaire / Il avait l’air bien comme il faut / HĂ©las s
 Les comptes s’empilent su’l’frigidaire / Rapport au gel de mon salaire / Le gel des prix – on a compris / En attendant on est mal pris / Ça fait deux mois qu’on est rivĂ©s / Comme deux rivets d’vant la
 On rĂȘvait de changer le monde / Est-ce le monde qui nous a changĂ©s? / L’espoir qu’on semait Ă  la ronde / Aujourd’hui nous semble Ă©tranger / On dĂ©filait pas toujours sages / En entonnant Le DĂ©serteu
 Quand je pense aux enfants qui naissent / Et qui seront notre jeunesse / Quand nous aurons les cheveux gris / Je pense aux miens je pense aux vĂŽtres / Et j’imagine aussi les autres / J’entends leurs r
 Quand le saxo / se met Ă  souffler sur ta peau / quand le vent / de son chant bluesĂ© / sur ton ventre / vient jazzer / / Quand le tĂ©nor / chauffe Ă  te faire perdre le nord / quand tout fond / et que 
 Parfois trop tĂŽt souvent trop tard / Nos montres n’ont pas la mĂȘme heure / Nos amis ne sont que dĂ©part / Et nos amours vont sans demeure / Toutes ces voix qu’on n’entend pas / Ces pas qu’il aurait fal
 Quand nous aurons gagnĂ© la mer / Quand nous aurons reconnu la maison / OĂč nos amours intĂ©rimaires / Au grand soleil enfin s’éclateront / Quand nous n’aurons rien d’autre Ă  faire / Que de laisser le jo
 Un escalier une Ăźle au loin / Le souffle est court mais ça fait rien / Un peu de sport ça fait du bien
 QuĂ©bec / Vieux toits dentelle des pavĂ©s / Silencieuses cheminĂ©es / Parmi les antenn’s de tĂ©lé  A
 Quelque part dans un bar / D’une ville anonyme / Un homme est seul / Il fixe vaguement son verre / Qu’il ne boit pas / / Plus au fond dans le bar / Une femme trĂšs belle / Est assise aussi seule que l
 Il y a quelque part un enfant qui m’appelle / Il y a quelque part un enfant / Au BrĂ©sil, au Sahel ou bien dans ma ruelle / Il y a quelque part un enfant / C’est un enfant de moi que je ne connais pas 
 Quand ça fait quinze ans qu’on s’aime / C’est fatal, on oublie / Les mots doux et les poĂšmes / Le cafĂ© au lait au lit / Quand les peurs que l’on partage / De moins en moins souvent / Appartiennent dav
 Mais qui saura jamais le poids de nos chansons / Mais qui saura jamais qu’elles n’auraient pas de voix / Sans toi / Qu’elles n’auraient pas de mots, qu’elles n’auraient pas de sons / Si tu n’étais pa
 Qu’avez-vous rapportĂ© / Demande le douanier / Rien que des cigarettes / Lui rĂ©pond le poĂšte / Les parfums d’un corsage / EffleurĂ© en chemin / Et toujours de passage / Quelques amis lointains / / REFR
 Ça fait plus de vingt fois, monsieur le directeur / Que je viens proposer mes nouvelles chansons / Ça fait plus de vingt fois que vous regardez l’heure / Que vous me dites non / / Bien sĂ»r vous n’ave
 C’était le temps des crinolines / Et des chaperons dans la cuisine / De la tĂ©vĂ© en noir et blanc / J’avais quinze ans / Cours de latin, cours de philo / Courses en patins, Victor Hugo / CafĂ© du coin, 
 Ce n’est rien / Rien qu’une petite chanson / Qui n’est lĂ  que pour le frisson / D’avoir la samba dans les hanches / / Je sais bien / Que ce n’est pas lĂ  ma façon / Mais sur mon piano sans raison / Au
 T’en fais pas, tu l’auras / Ton petit mouton de laine / Tu l’auras ton cinĂ©ma / Ta maman de fin d’semaine / Mais de grĂące ne va plus / Chez mamie chiper des biĂšres / Pour les vendre aux inconnus / C’e
 Tape, tape ton pas / Dompte, dompte ton pied / Tape, tape ton pas / Mais lĂąche lousse ton soulier / / C’est Ă  petits pas / Que la vie commence / C’est Ă  petits pas / Que l’on fait ses premiers pas / 
 Mes pas ont passĂ© dans la neige / La neige a passĂ© sur mes pas / Je n’ai pas eu de Libera / J’étais tout seul dans mon cortĂšge / Je me suis fait quelques arpĂšges / Pour accompagner mon trĂ©pas / Je me
 Quand je suis loin de toi / Je me sens loin de tout / Je me sens loin de moi / Je me sens moitiĂ© fou / Ça fait des mois, des mois / Que j’te cherche partout / OĂč es-tu, dis-le moi / OĂč es-tu mon tilou
 Je ne sais rien du paysage / OĂč nous transportera demain / J’aimerais qu’il fĂ»t une plage / OĂč tu me prendrais par la main / J’aimerais qu’il fĂ»t ton visage / Et la douceur de vivre autour / Mais je 
 À force d’avaler nos cheveux dans leur soupe / Un jour les bĂ©lugas couleront comme des chaloupes / TĂŽt ou tard / À force de bouffer nos excrĂ©ments chimiques / Un jour les fruits de mer seront tous en 
 Tournent la terre et les saisons / Rien n’est plus doux qu’ĂȘtre avec elle / L’amour m’est chaque jour nouvelle / Et l’amour c’est notre maison / / C’est une voix dans la cuisine / C’est un pas dans l
 Elle a des rĂȘves adolescents / De princesse au bois dormant / Mais Ă  trente ans, elle a pas l’temps / D’attendre cent ans / Et le soir quand elle sort danser / Elle abandonne au hasard / Le choix du p
 C’est toute nue / Que je t’aime le plus / Je le sais bien / C’est vexant pour tes robes / Je les aime bien / Mais dans la garde-robe / Ou prĂšs du lit / Quand elles tombent su’l’tapis / C’est toute nue
 Mes pas ont passĂ© dans la neige / La neige a passĂ© sur mes pas / Je n’ai pas eu de Libera / J’étais tout seul dans mon cortĂšge / Je me suis fait quelques arpĂšges / Pour accompagner mon trĂ©pas / Je me
 Toi t’as tout, t’as tous les atouts / T’as le pique et le cƓur / Tu me piques le cƓur tout partout / Avec ton corps moqueur / T’as toujours, quel que soit l’hiver / Un trĂšfle Ă  quatre feuilles / Un ca
 Tu vas voter demain mon pĂšre / Moi je n’ai pas encore ce droit / Aussi tu penseras j’espĂšre / Que tu le fais un peu pour moi / Toi qui possĂšdes l’expĂ©rience / Tu dois savoir bien mieux que moi / Qu’i
 Chaque fois que je vois dans le ciel / La trace d’un avion / J’imagine un arc-en-ciel / Pour les piĂ©tons / J’peux passer des heures Ă  rĂȘver / Dans les aĂ©rogares / Le bout du monde est Ă  cĂŽtĂ© / Du mome
 Finissons-en une fois pour toutes / Une fois pour toutes finissons-en / Pensons-y donc une fois pour toutes / Une fois pour toutes pensons-y donc / / Tout s’rait si simple si dans vingt ans / On d
 REFRAIN / Une lampe s’allume / Une lampe s’éteint / Une Ă©paule s’allume / Une Ă©paule s’éteint / / Sur la table un bouquet / Se fane et puis renaĂźt / Un ruisseau s’endort / Une Ă©toile se lĂšve / / /
 Heureusement qu’on est heureux / Parce qu’autrement on serait ben malheureux / Heureusement qu’on est heureux / Parce qu’autrement on serait ben malheureux / / J’aurais donc voulu t’acheter / Vu qu
 Les moulins Ă  vent sont Ă  vendre / Tous les enfants sont devenus grands / Les derniers fous n’ont qu’à se rendre / L’hiver s’est trompĂ© de printemps / Et l’on souscrit des assurances / On fait l’éparg
 Quand la vie n’est plus qu’une vitre vide / OĂč la pluie lentement bat le temps / Quand on ne tient plus dans ses mains avides / Que le souvenir d’un jardin vacant / / Alors on se dit que rien n’aura 
 Y a trop de morts dans cette ville / Et pas assez de cimetiĂšres / Ça fait que les morts font la queue / Ils sont sur la liste d’attente / Comme Ă  l’assurance-chĂŽmage / / Alors ils vont au cinĂ©ma pour
 C'est dĂ©cidĂ© cette nuit je pars Il n'en sait rien, il lit son journal Je n'ai pas osĂ© lui parler Et lui dire que je le quittais Mes yeux se posent ici et ailleurs Mes souvenirs me parlent de ton cƓur J'ai besoin d'entendre ta voix Le courage me manque, aide-moi. TĂ©lĂ©phone-moi, appelle-moi et dis-moi Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes TĂ©lĂ©phone-moi, rassure-moi et dis-moi Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes Il me regarde et il me sourit Il a toujours partagĂ© ma vie Il disait au prochain printemps Il faudra me faire un enfant Je me sens vide et tout au fond de moi Pour le quitter, pour courir vers toi J'ai besoin d'entendre ta voix Le courage me manque, aide-moi TĂ©lĂ©phone-moi, appelle-moi et dis-moi Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes TĂ©lĂ©phone-moi, rassure-moi et dis-moi Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes TĂ©lĂ©phone-moi, appelle-moi et dis-moi Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes TĂ©lĂ©phone-moi, rassure-moi et dis-moi Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes Chansons sur le thĂšme de l’environnement Le recyclage, ça dĂ©mĂ©nage – crĂ©ation par une classe Le jardinier de Dominique Dimey Touche pas ma planĂšte de Dominique Dimey T’achĂštes, tu jettes de Dominique Dimey La terre en colĂšre de Dominique Dimey La chanson du dĂ©fi pour la terre de Dominique Dimey Dis, PĂ©pĂ© de Christian Mesmin La chanson d’Azima de Michel Berger / France Gall Objectif Terre de Ridan Les jolies colonies de vacances de P. Perret couplets 1&4 Vert de colĂšre de Pierre Perret Le bonhomme bleu marine d’ Anne Sylvestre Des choses pas roses de Henri DĂšs C’est le dĂ©fi pour la Terre CM1 Ecole Ste Blandine d’ Ecully Soyons solidaires CM1A Ecole Ste Blandine d’ Ecully PlanĂšte en danger CP Ecole Turgot de Tulle J’avais une cabane La maison prĂšs de la fontaine Chanson pour bien respirer Les ocĂ©ans de Yves Djilali La baleine bleue de Steve Waring Laissons la baleine Robinson Les abeilles Christine & Yves La terre meurt de Charles Aznavour Le petit jardin de Respire de Mickey 3D La poupĂ©e Terre de Pierre ChĂȘne Aux arbres citoyen de Yannick Noah T’es rien sur la Terre, terrien d’A. Schneider Plus rien Les cowboys fringants Monsieur Toulmonde d’Aldebert Les couleurs du monde de Christine & Yves Si dans la mer de et Le rock des poubelles Joseph Lafitte Le reflet du dĂ©sert Robert Maccagnan Des sites pĂ©dagogiques ‱ Eveil Association ‱ Terre des jeunes

chanson tu m avais dit pour le printemps