Découvrezles meilleures vidéos sur Beaucoup de bruit pour rien (film, 2013) sur Dailymotion. Recherche. Bibliothèque. Se connecter. S'inscrire. Nous ne sélectionnons pas nous-mêmes les vidéos qui apparaissent sur nos pages Topics, elles sont automatiquement choisies par un algorithme. Si vous pensez qu'une vidéo n'appartient pas à un Topic, merci de nous la Dans Beaucoup de bruit pour rien, comédie de William Shakespeare publiée en 1600, les jeux de quiproquos et le marivaudage avant l’heure cachent une détresse et une noirceur contenues derrière le masque de personnages névros és. C’est en substance ce que révèle l’adaptation proposée par Joss Whedon. À cent lieues d’Avengers, le créateur de Buffy the Vampire Slayer Toutesles vidéos de Beaucoup de bruit pour rien. La chèvre. Pourris gâtés. Bad Moms 2. BeaucoupDe Bruit Pour Rien. Comédie 1993 1 h 46 min iTunes. Disponible sur myCANAL, Molotov TV, iTunes En 1599, le prince Don Pedro d'Aragon, revenu victorieux d'une expédition militaire, arrive à Messine, en Sicile, accompagné de ses fidèles compagnons d'armes, Benedict et Claudio, et de Don Juan, son fourbe demi-frère. Il sont accueillis chaleureusement dans la Lavenue d'un Sans un bruit 3 se retrouve bien menacée à cause d'un conflit financier entre la Paramount et le couple du film Emily Blunt et John Krasinski.. Annoncé pour le 16 juin 2021 dans Etil faut savoir aussi que gratuit est différent de libre Et que comme le dit si bien gwen, plusieurs dizaines de milliers de films sont dans le domaine public et/ou du libre et qu'ils sont donc accessible gratuitement ! Et heureusement que gratuit ne veut pas dire illégal car beaucoup de choses dans le monde culturel serait illégal iaSR. 13 juin 2021 - MAJ 14/06/2021 1013 La Rédaction 13 juin 2021 - MAJ 14/06/2021 1013 Horreur Thriller Produit pour à peine 17 petits millions de dollars, Sans un bruit a pris tout le monde de court avec presque 341 millions de dollars de recette dans le monde, 188 millions sur le seul sol américain. Un véritable phénomène, qui exigeait forcément une suite, sur les écrans français le 16 juin 2021. S'ensuivront probablement un troisième volume et un spin-off. Mais alors que ce second opus divise le public et la rédaction, beaucoup se sont repenchés sur le long-métrage réalisé par John Krasinski en 2018. À l'époque, il a été propulsé par un bouche-à-oreille dithyrambique et des critiques plutôt positives. Méritait-il un succès aussi franc ? Qu'ils l'apprécient ou pas, les moins silencieux des membres d'Ecran Large reviennent sur le film, point par point. Sans un bruit d'eux le concept est cool Les années 2000 auront été celles du "film-concept", suite au carton stratosphérique du Projet Blair Witch en 1999. Le principe est simple on invente un principe inédit, puis on brode un scénario autour, et on filme le tout à peu de frais. La firme Blumhouse en a même fait sa spécialité, après que son créateur a refusé de distribuer la poule aux oeufs d'or d'Eduardo Sánchez et Daniel Myrick. Mais force est de constater que malgré une compétition fournie, peu de ces concepts sont franchement intéressants. Alors que Blumhouse fait mouche une fois sur dix, voir un film d'épouvante avec une véritable bonne idée soulage. Le génie de cette idée réside dans sa simplicité. Elle repose sur un simple mécanisme action, réaction. Soit le principe même du suspense. Alfred Hitchcock aurait beaucoup à dire sur Sans un bruit, dont le postulat même schématise à l'extrême les mécaniques de la tension. On se met à craindre un simple son et à scruter les environnements à la recherche de potentielles sources de boucan ignorées par les protagonistes. Quand tu vas voir un film d'épouvante en salles Les monstres de Sans un bruit, qu'ils soient absents ou pas, sont un vivier infini de jeux sur les attentes du spectateur. "L'ironie dramatique" ou le fait d'avoir une longueur d'avance sur les personnages pour mieux craindre qu'ils fassent le mauvais choix, reine des frissons selon le maître du suspense, fonctionne à plein régime. Et le réalisateur en est bien conscient, comme il le montrait au micro de Den of geek en 2018, en prenant l'exemple de la scène du clou Il y a une ligne très fine entre provoquer l'inconfort ou la sensibilité des spectateurs et les frustrer [...] Je me rappelle que Christopher McQuarrie était l'une des seules personnes à lire mon premier jet, et il disait "Ce truc du clou, c'est comme un classique d'Hitchcock. Et je t'ai vraiment détesté, parce que pendant 20 minutes de la lecture de ton scénario, je me disais 'Si il ne [concrétise pas] ça très vite, s'il ne le fait pas très vite, s'il ne le fait pas très vite...'". Et puis quand ça s'est passé, il a dit "J'étais si heureux d'être aussi anxieux". » Le concept est d'autant plus efficace qu'il rejoint une obsession du cinéma d'épouvante mainstream le mixage sonore. Alors que la plupart des films-concept "à la Blumhouse" aiment artificiellement pousser les contrastes de son pour créer de la surprise, Sans un bruit rend ça naturel. Le son devient aussi, voire plus, important que l'image et on se fie principalement à nos oreilles, pour peu qu'un malotru ne se gave pas de pop-corn le siège derrière. Voilà peut-être une des limites les plus agaçantes du film. Un modèle de suspens hitchcockien OUI, c'est bien réalisé Les films de genre à destination du grand public, ceux qui entendent moissonner le box-office, s’inquiètent rarement de mise en scène, préférant tout miser sur des univers connus et reconnus de leurs spectateurs, ainsi qu’une batterie d’effets de montages génériques, à commencer par une avalanche de jumpscares et autres sursauts faciles. La première et grande satisfaction qu’apporte Sans un bruit provient de la volonté de son metteur en scène, le comédien John Krasinski, d’offrir une véritable identité cinématographique à son premier gros film. On sent que l’artiste veut bien faire, et veut bien faire en tout. Jamais il ne se laisse aller à recycler n’importe comment les travaux de ses prédécesseurs, et confère à chacune de ses séquences une identité, une direction artistique véritable. Bien sûr, Sans un bruit ne nous parvient pas libre de toute influence, et le film doit beaucoup, ne serait-ce qu’au récent Last of Us, mais on sent que son auteur lutte perpétuellement pour insuffler du l’âme et du sens à sa mise en scène. À ce titre, on constate que le réalisateur impose une idée toute simple, mais plus que bienvenue dans le cadre d’un film à concept ultra-marketé un véritable rapport au temps. Plus encore que le son, au centre du scénario et de son univers, c’est le choix de faire durer ses plans, d’étirer l’action, de la dilater pour générer un suspense véritable qui lui permet de faire la différence. Car si son sens du cadre fait souvent mouche, c’est ce travail de la temporalité qui permet pleinement au métrage d’inoculer une formidable tension dans l’esprit du spectateur. Profondo roso MOUAIS, LES PERSONNAGES SONT DÉBILES Sans un bruit manipule souvent son concept initial pour resserrer sa menace ou donner du lest à ses personnages. Le procédé ne va pas sans quelques incohérences, mais aucun film n’y échappe, et c’est sans doute le prix à payer pour tenir jusqu’au bout un film de divertissement au concept aussi kamikaze. En revanche, on est beaucoup plus sceptique quant à l’écriture des personnages que le scénario tend à rendre ouvertement débiles pour s’assurer quelques frissons à peu de frais. Et les exemples abondent… S’il est certain que la grossesse du personnage d’Emily Blunt est pourvoyeuse de séquences bien tendues comme il faut, on a bien du mal à comprendre comment deux adultes, ayant déjà charge de famille, ont pu se laisser aller à concevoir un marmot en pleine fin du monde alors qu'ils sont encerclés par des aliens ultra-sensibles au son. Certes, on devine que le scénario voudrait faire de la mort traumatique d’un enfant l’origine de cette pulsion de vie, mais il y a un hic. "Pourquoi on vit pas sous la cascade ce serait pas..." "Chut" Pour forte et dure que soit la séquence au cours de laquelle un malheureux minot est transformé en sashimi sous les yeux de ses parents, la faire reposer sur un jouet sonore, dont il paraît impossible que quiconque l'offre ou le laisse offrir est une autre absurdité, qui tranche avec les innombrables précautions quotidiennes de nos survivants. Et d’ailleurs, puisque nos gros malins ont découvert une cascade dont le fracas les protège de l’ouïe des monstres, pourquoi ne s’y sont-ils pas installés, plutôt que de faire bombance dans une grande baraque dont la moindre planche craque comme les narines d’un exécutif de studio hollywoodien ? Preuve que Sans un bruit se déroule dans une sorte de réalité parallèle où les principes de Darwin ont été battus en brèche. Lorsque nous quittons Emily Blunt endeuillée, fusil à pompe à la main, c’est bien la survie du moins adaptée que nous propose le film, dont l’héroïne s’apprête à affronter une tripotée de monstres à coups de décharges sonores… "Et pourquoi on n'irait pas..." "Chut" BOF, LE CONCEPT ne tient pas la route jusqu'au bout C'est la question à mille points des films à high concept jusqu'où ce concept si excitant peut-il tenir, avant de s'écrouler sous le poids des incohérences ? Sans un bruit repose sur une idée les aliens sont ultra-sensibles au bruit, et pour survivre, il faut rester silencieux. Une idée diabolique, illustrée dès l'intro avec quelques codes marcher pieds nus sur des zones ensablées, se déplacer avec précaution, manipuler les objets avec soin, et une mort pour sceller le pacte. Mais sans surprise, le niveau de sensibilité des créatures semble varier selon les besoins du scénario. Quand il faut faire peur, un pauvre animal est broyé sans sommation parce qu'il rampe un peu trop fort sur le sol, et un très gros plan montre que le monstre peut capter le tic tac d'un minuteur. Mais quand il faut épargner les personnages, on les laisse marcher sur un parquet qui couine peu, mais tout de même, courir même pieds nus, il y a du bruit, s'enfuir en panique même si un vieux désespéré a hurlé juste avant, ça reste un bruit supplémentaire, courir dans un champ de maïs les feuilles qui fouettent le visage, ce n’est pas rien, avancer dans l'eau vers un bébé qui chouine un peu... et bien sûr, accoucher dans une baignoire. Sans péridu-râle svp C'est certainement le point de bascule du film, puisque la pauvre Emily Blunt affronte un monstre et des contractions. C'est héroïque, mais le moindre de ses souffles ravalés devrait alerter la bestiole, aux aguets, à quelques mètres d'elle. Sans même parler de la naissance d'un bébé, qui vient a priori avec quelques hurlements pour fêter l'entrée en scène de la chose. Le joker feu d'artifice est bien utile, mais ne suffit pas à enterrer toutes ces interrogations. Y compris celle de l'insonorisation un peu trop efficace de leur habitat en sous-sol. Sans un bruit est donc une belle démonstration de suspension d'incrédulité il faut accepter les règles du jeu, même lorsque quelqu'un triche, puisque c'est pour le plaisir de rallonger la partie. Le prix à payer on passe une partie du film à se demander si on a bien compris les détails du concept. Rien ne sert de courir, mieux vaut mourir à point non, parce que les MONSTRES sont pas super Qui dit film de monstre, dit plaisir de découvrir les monstres en question. Leur allure, leur tête, leurs mouvements, leurs mâchoires, voire leur culture tout est possible au beau royaume de la science-fiction et du fantastique, et John Krasinski l'avait bien en tête. Il racontait à Collider à l'époque "L'idée, c'était qu'ils soient totalement aliens, et de parfaites machines de l'évolution. Ils ont grandi sur une planète sans humain, sans lumière, donc ils n'ont pas besoin d'yeux, ils chassent uniquement par le son. Ils ont aussi développé une manière de se protéger de tout, c'est pour ça qu'ils sont pare-balles. ... Cette armure est la raison pour laquelle ils ont survécu à l'explosion de leur planète, et ces météorites. Jusqu'à ce qu'ils s'ouvrent et soient vulnérables, ils sont quasiment indestructibles." L'équipe a donc réfléchi à la raison d'être de ces créatures de l'enfer pour les plier à l'exercice du cauchemar high concept. C'était les contraintes du récit il fallait que ces monstres soient aveugles et sensibles au son, et sortent de l'ordinaire puisque cette idée est très banale dans le cinéma de genre des bestioles de The Descent à celles de Pitch Black. Et c'est justement le problème ces aliens manquent d'une identité forte. Où est Eleven quand on a besoin d'elle ? Au final, le résultat est finalement très classique. Difficile de se souvenir précisément de la tronche de ces aliens, qui rappellent Cloverfield ou Stranger Things, tous deux sortis avant sachant que le premier design ressemblait plus à un rhinocéros croisé avec un boss de Doom. Pas qu'ils soient ratés, ridicules ou risibles, puisqu'ils remplissent leur fonction cauchemardesque, notamment grâce à une rapidité forcément terrifiante. Mais ils n'offrent aucune image réellement marquante, ou du moins jamais aussi forte que le concept entier du film et la menace diffuse qu'ils représentent. Ce n'est pas un problème pour le premier film, qui joue largement la carte du hors-champ, et se repose dans un premier temps sur l'absence et l'omniprésence des aliens. Il suffit ainsi d'une silhouette passant à toute allure, ou d'une grosse patte méchante, pour créer le cadre de l'horreur, et laisser imaginer le pire. Mais dès que les bestioles occupent le cadre, et sont filmées en gros plan, il y a l'évidence qu'elles sont finalement trop génériques pour entrer au panthéon des meilleurs cauchemars du genre. Plus effrayant que la bête l'absence de la bête OUI au fond, parce que c'est une grosse série B assumée Que reste-t-il du cinéma d'épouvante grand public américain ? Le Conjuring-verse et son cathoporn tristement prétentieux, tous ses rejetons serviles et ses copies maladroites se ruent régulièrement sur nos écrans, interrompus de temps à autre par la dernière production à récompense Blumhouse ou le dernier film d'auteur A24. Les séries B à budget médian se font rares et n'attirent que très rarement en salles, comme les scores mitigés des pourtant sympathiques Life Origine Inconnue et Underwater le prouvent. En ça, malgré ses nombreux défauts, Sans un bruit reste un film à part. Certes, il n'a rien d'un chef-d’œuvre définitif, mais il fait preuve d'une humilité et d'une sincérité rares outre-Atlantique. Kraskinski ne prétend pas réinventer l'horreur ou lancer un univers étendu tentaculaire quoique la Paramount se chargera peut-être de le faire pour lui. Il embarque sa collaboratrice et compagne Emily Blunt dans un conte familial en quasi huis-clos n'ayant d'autre but que de divertir en continu, s'amuse et nous amuse au passage. On s'amuse bien Derrière ses airs de high-concept bébête, c'est surtout un pur film de monstre parfois méchant, parfois touchant. Un tour de montagne russe bancal qui s'assume, et dont on repart souvent repu. Nul doute d'ailleurs que sa diffusion sur Amazon Prime va encore convaincre du monde. L'objectif est simple, louable, mais trouvera peut-être ses limites dans l'expansion de son univers. Sans un bruit 2 commence déjà à laisser transparaître un léger cynisme. Espérons qu'il ne s'empare jamais totalement de cette petite saga en devenir, née sous une bonne étoile. Tout savoir sur Sans un bruit Sans un bruit bientôt adapté en jeu vidéo, que peut-on en attendre ? Les nouveautés films et séries à voir sur Amazon Prime en juin John Krasinski est bel et bien en train d'écrire le scénario de Sans un bruit 2 Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi Enregistrer une bande son parfaite, sans bruit de fond peut être difficile, spécialement dans des environnements bruyants. Que vous soyez confronté à des bruits de fond envahissants ou à un équipement de mauvaise qualité, vous vous retrouvez parfois avec quelque chose d’inexploitable. Heureusement, il existe une méthode gratuite pour améliorer le son d’une vidéo. Ecoutez, par exemple, comment la réduction de bruit par logiciel peut supprimer le son inutile d’une vidéo Bande son bruyante » Bande son propre Améliorer le son d’une vidéo s’assurer de l’ambiance sonore de base Il y a une astuce qui vous aidera considérablement à améliorer le son d’une vidéo à travers un logiciel. Si vous êtes la personne responsable de l’enregistrement sonore, souvenez-vous de toujours commencer par enregistrer 10 secondes d’ambiance sonore de base de la pièce où vous vous apprêtez à filmer. Cette ambiance sonore est simplement le son naturel que produit l’environnement dans lequel vous enregistrez sans aucun son produit volontairement ». Même si vous n’entendez rien du tout, un micro sensible identifiera le bruit de l’air conditionné, de la ventilation des ordinateurs, etc. Cette ambiance sonore de référence servira de base au logiciel pour enlever les bruits de fond. S’assurer de toujours avoir quelques secondes d’ambiance sonore de base dans vos enregistrements est une bonne habitude à prendre. Surtout si vous savez déjà que vous aurez besoin de réduire les bruits de fond plus tard ! Si vous ne contrôlez pas le processus d’enregistrement, vous pouvez généralement toujours trouver un peu de cette ambiance sonore dans la bande son. Pendant les pauses entre les prises, ou encore au début ou à la fin du fichier où il ne se passe pas grand-chose, vous trouverez suffisamment de matière pour la réduction de bruit. Comment supprimer le son d’une vidéo ? Supprimer le bruit de fond avec Audacity Qui n’emprunterait pas la voie de la gratuité si elle est disponible ? Si vous ne cherchez pas à investir dans un logiciel audio haut de gamme, Audacity est un logiciel gratuit créé et mis à jour par une communauté de programmeurs et d’experts de l’enregistrement audio. Il accepte un large éventail de types de fichiers audio, et intègre un outil de réduction de bruit parfaitement utilisable. Sa seule limitation il ne s’occupe que de l’audio, ce qui peut compliquer les choses si vous travaillez avec de la vidéo. PROCESSUS POUR SUPPRIMER LE BRUIT DE FOND AVEC AUDACITY Sélectionnez votre ambiance sonore de base en glissant votre souris sur une zone sans aucun ou très peu d’ le menu Effets sélectionnez Réduction du bruit ».Cliquez sur Prendre le profil du bruit ». Le menu le clip entier en choisissant Sélectionner – Tout ».Dans le menu Effet sélectionnez Noise reduction » une nouvelle sur Preview pour tester les réglages de réduction de bruit par défaut. En fonction de votre ambiance sonore et de l’enregistrement audio original, ces réglages pourront faire l’ vous entendez toujours du bruit de fond, ajustez les curseurs d’intensité et cliquez de nouveau sur Valider » pour réduire le bruit. Quelles sont les fonctions des réglages sur Audacity ? Réduction de bruit Contrôle le niveau d’intensité de la réduction de bruit. Sensibilité Contrôle l’éventail d’éléments considérés comme du bruit à réduire. Plus le curseur est placé haut, plus la véritable bande son par exemple les voix sera affectée. Adoucissement de fréquence bandes Le réglage par défaut est 3, le déplacer vers le bas a tendance à favoriser la musique, le déplacer vers le haut favorisera les voix. Avertissement important allez-y doucement avec les curseurs. De petites variations peuvent avoir de grands effets. Réduire reduce et Résidu reside Reduce permet une prévisualisation complète. Ce bouton vous montre à quoi ressemblera la bande son une fois la réduction de bruit effectuée. Si vous désirez entendre exclusivement ce qu’enlève la réduction de bruit, sélectionnez Reside et cliquez sur Preview. Supprimer le son d’une vidéo dans un montage Audacity est parfait pour nettoyer une bande son pour un podcast ou un fichier musical. Mais pour des pistes voix en vidéo, cela prend beaucoup de temps d’exporter vos pistes audios, de les nettoyer avec Audacity, puis de les resynchroniser. Ce n’est pas impossible à faire mais ce n’est pas le moyen le plus efficace de supprimer le bruit de fond, spécialement sur vous avez déjà découpé vos clips dans la chronologie. TechSmith Camtasia logiciel de montage vidéo possède une fonction de suppression de bruit de fond qui est d’une grande simplicité. Cette fonction s’appuie également sur votre ambiance sonore de base, mais il n’est pas nécessaire de la sélectionner dans votre clip — Camtasia s’en occupe pour vous. Le curseur de sensibilité dans Camtasia fonctionne comme dans Audacity. Le curseur Réduction » est équivalent au curseur Réduction de bruit » dans Audacity. En supprimant le bruit de fond dans la chronologie, vous vous évitez le pensum d’importer et d’exporter à plusieurs reprises à partir d’un programme externe tel qu’Audacity, et il est beaucoup plus facile de faire des changements rapides. Autres manières d’améliorer le son d’une vidéo Il existe d’autres logiciels possédant des fonctions similaires tels qu’Adobe Audition et le très puissant Izotope RX5. Ces logiciels ont un pied dans la catégorie des outils audio professionnels et vous permettent d’aller beaucoup plus loin dans le calibrage audio si vous acceptez de consacrer suffisamment de temps et d’argent pour les maîtriser. Souvenez-vous toutefois que bien que l’efficacité des logiciels ne cesse de s’améliorer, faire tout ce qui est en votre pouvoir pour minimiser le bruit de fond dans votre enregistrement initial restera toujours votre meilleure manière d’améliorer le son de votre vidéo. Essai gratuit Essayez gratuitement TechSmith Camtasia sur Windows et Mac. InfosDiffusionsCastingRésuméDe retour de la guerre, Don Pédro et ses fidèles compagnons d'armes, Bénédict et Claudio, rendent visite au seigneur Léonato, gouverneur de Messine. Dans sa demeure, les hommes vont se livrer à une autre guerre. Celle de l'amour. Et notamment celle qui fait rage entre Béatrice et Bénédict, que leur entourage tente de réconcilier tout en essayant de déjouer les agissements malfaisants de Don JuanGenreFilm - ComédieAnnée de sortie2012AvecAmy Acker, Alexis Denisof, Nathan Fillion, Clark Gregg, Reed Diamond, Fran Kranz, Joss Whedon, Joss WhedonInfos supplémentaires—Avis des internautes 1Vous avez aimé ce programme ? Adeptes du frisson, amatrices de l’angoisse, amoureuses de la peur, n’hésitez surtout pas à pénétrer ce terrain horrifique. Pour Halloween, on vous propose notre sélection de films récents, à ne regarder que si vous avez l’estomac bien accroché ! Le 31 octobre 2017 Pour Halloween, tous les chats seront gris. Dans la peau de Dr. Peter Venkman, de Michael Myers, d’un zombie sexy en diable ou juste d’un drap vêtue, vous irez sans doute engloutir quelques belles pintasses au nom du folklore Anglo-Celtes. Laissez-nous donc accoucher d’une sélection de bébés horrifiques. Des bébés qui mangeraient avec leurs anus, auraient 12 bras, et un pénis sur la tête. La Nuée, le renouveau du genre français Le cinéma de genre français a connu un regain de popularité en 2017 au moment de la sortie de Grave, de Julia Ducournau. Inattendu, puissant, cruel, ce film souvent qualifié de féministe en raison de sa lecture possible sur la répression des désirs féminins, marquait un nouveau tournant dans le domaine Depuis cette année-charnière, force est de constater qu’aucun film hexagonal ne s’est pourtant hissé au niveau de Grave. Enfin, jusqu’à récemment ! Car une autre fiction française est en passe de s’offrir les mêmes faveurs, et c’est largement mérité. Ça s’appelle La Nuée, et c’est l’un des meilleurs films qu’on a vus ces derniers temps ! La Nuée, de quoi ça parle ? Virginie l’extraordinaire Suliane Brahim est une agricultrice fauchée. Après avoir essayé d’élever des chèvres avec son mari, elle est désormais reconvertie dans un secteur novateur l’élevage de sauterelles, un insecte très riche en protéines qui constitue l’alimentation de demain. Mais ça, tout le monde n’est pas prêt à l’entendre ni à le comprendre. Ainsi, Virginie peine à vendre sa farine de sauterelles, d’autant plus que ces dernières se reproduisent de moins en moins. En parallèle, la fille aînée de Virginie traverse une adolescence compliquée, car elle est sans cesse moquée par ses camarades de classe en raison du métier de sa mère. Les deux femmes entretiennent donc une relation conflictuelle, d’autant que l’éleveuse promet à sa fille qu’elle s’en iront bientôt, et recommenceront une nouvelle vie où Laura le souhaite. Ravie, l’adolescente s’imagine déjà tout recommencer loin de cette ferme qui semble leur porter malheur… Voir La Nuée sur Prime Vidéo The Witch, l’affreuse splendeur Quand l’enfer flirte avec le sublime, notre verdict est forcément sans équivoque. The Witch est un film indépendant réalisé par Robert Eggers. Sa puissance esthétique révèle toute l’ambition du cinéma de genre. Dans un environnement glacial chargé de références religieuses, les héros inquiets de The Witch ont su nous émerveiller. The Witch, ça parle de quoi ? En Nouvelle-Angleterre, une famille très pieuse est bannie de sa communauté. Recluse dans une forêt, elle va devoir se confronter à d’étranges phénomènes… Voir The Witch sur Prime Vidéo The Strangers, l’effroi made in Corea Voilà pour nous l’un des meilleurs films d’horreur de la décennie. Au delà de sa maitrise parfaite des codes horrifiques, The Strangers impressionne par son génie esthétique. Maîtrisée à la perfection, l’image nous transporte dans les montagnes coréennes à la découverte de l’angoisse, la vraie la xénophobie. The Strangers, de quoi ça parle ? Dans un petit village coréen perché tout en haut des montagnes, un meurtrier sévi. L’enquête de police piétine alors qu’une épidémie de fièvre se propage et conduit les habitants à une folie meurtrière… Je vous conseille le visionnage de The Strangers avec ardeur. Plus qu’un coup d’œil, il mérite une vraie implication cérébrale. Car en filigrane se dessinent de vrais sujets sociétaux. Un chef-d’œuvre ! Voir The Strangers sur Prime Vidéo Pas un bruit, un film d’horreur angoissant Pas un bruit, c’est une expérience sensorielle de haute voltige, qui tient son concept de A à Z sans jamais fléchir. Une qualité beaucoup trop rare, dans le cinéma de genre, pour ne pas être soulignée ! Pas un bruit, de quoi ça parle ? Une écrivaine sourde et muette se retrouve séquestrée dans sa demeure par un individu sadique et récalcitrant. En dépit de son handicap, la jeune femme doit se montrer alerte, si elle veut échapper à son agresseur… Voir Pas un bruit sur Netflix Conjuring 2 le cas Enfield, l’horreur primaire Réalisée par James Wan, la saga The Conjuring a été un vrai succès critique et commercial. À juste titre d’ailleurs, car elle a été écrite, réalisée et interprétée avec brio. James Wan est, en effet, le grand-manitou de l’horreur moderne. Friand du jump scare, dont on doit avouer ne pas être une grande adepte car c’est un mécanisme dont les cinéastes abusent, il joue sur nos peurs primaires pour nous foutre les miquettes. Grâce au gros budget dont il dispose, James Wan peut innover techniquement. Ainsi, sa caméra volante passe dans des trous de souris et survole les pièces de la maison hantée avec légèreté. Un bonheur ! Conjuring 2 le cas Enfield, de quoi ça parle ? Tout comme son premier volet, Conjuring 2 relate une histoire vraie, cette fois issue des dossiers d’Ed et Lorraine Warren. Le couple doit se rendre à Londres, pour secourir une mère célibataire qui vit avec ses quatre enfants dans une demeure hantée par un affreux démon. Effrayant ! Voir Conjuring 2 sur Prime Vidéo The Door, l’effroi à deux pas The Door a su nous réconcilier avec Sarah Wayne Callies Lori Grimes dans The Walking Dead et ça, c’était pas gagné. Plutôt réfléchi, The Door est un film d’horreur qui pose une vraie question est-il possible de survivre au deuil d’un enfant ? En abordant des thématiques très dures comme la finalité et le désespoir, The Door nous emmène au-delà de l’horreur, et flirte avec la philosophie si on extrapole un peu of course. The Door, ça parle de quoi ? Une famille américaine installée en Inde vit dans le confort et le bonheur jusqu’à ce que le jeune fils décède dans un accident de voiture. Désespérée, la mère apprend qu’un rituel antique peut lui permettre de faire un dernier adieu à son fils… Voir The Door sur Disney+ Baba Yaga, quand l’horreur frappe à la porte Ne vous laissez pas embobiner par ce titre à la mords-moi-le-noeud, Baba Yaga n’est pas un sombre film d’horreur réalisé par des adolescents en manque de budget et d’imagination. Baba Yaga, c’est un film plutôt sensible sorti le 2 août 2017 en VOD, et qui n’a malheureusement pas joui d’un relai médiatique suffisant pour acquérir un peu de notoriété. Alors je me charge d’en faire la pub ici, car s’il n’est pas un grand film, il faut lui reconnaitre son aspect divertissant. Dans son genre, il est même plutôt réussi ! Baba Yaga, de quoi ça parle ? Jess est une artiste réputée, qui ne parvient pas à établir de communication avec sa fille de 17 ans nommé Chloé. L’adolescente est en effet persuadée d’être possédée par une entité démoniaque, qui annonce sa présence en frappant deux fois aux portes. Jess essaie de ramener sa fille à la raison, mais quelques événements impromptus l’obligent à réviser son opinion… Voir Baba Yaga sur Canal+ VOD 31, le retour de Rob Zombie dans un film d’horreur Le cinéma de Rob Zombie est très puissant, original et surtout riche en symboles. Si vous ne connaissez pas ce mastodonte du cinéma de genre, laissez-nous éclairer vos lanternes. Ce grand chevelu à l’air patibulaire est, à l’origine, un chanteur et musicien de métal américain, qui s’est peu à peu mué en réalisateur de cinéma horrifique. Très étranges, ses films surfent souvent sur la vague du malaise. Rob Zombie pose un regard acerbe sur la société américaine et ses dérives. Connu pour avoir créé La Maison des 1000 morts, The Devil’s Reject ou encore Halloween remake du film de John Carpenter sorti en 2007, il s’est plus récemment illustré dans la réalisation de 31. Particulièrement grinçant et dérangeant, 31 se veut glauque, un rien gore et surtout très cynique. Il nous était alors impossible de ne pas vous mettre ce film dans notre sélection. Il s’agit d’un vrai film de genre qui vous déstabilisera sûrement si vous n’êtes pas coutumière de son créateur. 31, de quoi ça parle ? Cinq personnes choisies au hasard sont enlevées et retenues en otage dans un endroit appelé Le monde du crime, le soir d’Halloween. Elles vont devoir participer à un jeu macabre duquel seule une pourra s’extirper… Voir 31 sur Apple TV Love Hunters, la délicatesse au service du drame Love Hunters, c’est un produit qui évolue sur le fil tendu de l’habileté. Soigné, graphique et esthétique, il ressemble davantage à un thriller psychologique qu’à un film d’horreur à proprement parler. Profondément réfléchi et jamais bâclé, ce film signé Ben Young revêt des airs de Prisoners et interroge l’humanité de ses protagonistes. Love Hunters, ça parle de quoi ? Alors que la jeune Vicki Maloney se rend à une soirée, elle est abordée dans la rue par Evelyn et John White, deux trentenaires qui l’invitent chez eux. Elle se rend compte une fois arrivée chez eux, qu’elle a affaire à des psychopathes qui veulent la séquestrer. Le seul moyen pour elle de s’en sortir ? Exploiter les failles du couple… Voir Love Hunters sur Prime Vidéo It Comes at night, huis clos post-apocalyptique It comes at night est loin d’intégrer notre top 10 des meilleurs films d’horreur de tous les temps. Cependant, son esthétique et son traitement de l’angoisse sont suffisamment intéressants pour qu’il ait sa place ici. Encensé par la critique mais peu apprécié du public, il a su en tout cas susciter l’intérêt des spectateurs. Et pour cause, It comes at night soigne son image, sa lumière et son propos. Contemplatif, ce huis-clos post-apocalyptique nous emmène sur une terre horrifique déstabilisante. Il ne s’y passe pas grand chose, mais le peu d’action est sublimée par le regard d’un cinéaste rigoureux. It comes at night, de quoi ça parle ? Un homme vit reclus dans sa maison totalement isolée dans une forêt avec sa femme et son fils. Une menace silencieuse pèse sur eux. Alors qu’une famille aux abois vient trouver refuge chez eux, leur équilibre se retrouve encore fragilisé… Voir It Comes at Night sur Prime Vidéo À lire aussi Le programme ciné de la semaine est chargé, voici les 4 pépites à ne pas manquer Les fans d'Harry Styles risquent d'être aux anges. Et pour cause, ce dernier va débarquer sur Prime officiel, Harry Style va bientôt faire son arrivée sur Prime Video. D’ailleurs, la plateforme tease enfin ce nouveau projet. MCE TV vous raconte tout de A à Z ! Des nouveautés arrivent sur Prime Video Inutile de le rappeler, la concurrence se fait rude du côté des plateformes de streaming en ligne. Ainsi, Prime Video redouble d’efforts pour parvenir à maintenir sa place sur le marché. Et oui, rien ne doit être laissé au hasard. Pour cela, Prime Video fait preuve d’une grande créativité. Films, séries ou encore documentaires, la plateforme s’impose sur tous les fronts. Pour le plus grand bonheur de ses nombreux abonnés. Et oui, peu importe les goûts, tout le monde peut trouver son bonheur ! D’ailleurs, du côté des nouveautés, de gros projets se préparent. En effet, la plateforme de streaming en ligne a décidé de renouveler son programme Celebrity Hunted. Et pour cette saison 2, le casting semble fait sur mesure. Michou, Inoxtag ou encore MacFly et Carlito ont alors répondu présent. Eh oui, rien que ça ! Du côté des séries, là encore Prime Video risque de faire très fort. Et pour cause, la saison 3 de Top Boys s’apprête à faire son arrivée dans le catalogue. D’ailleurs, ces nouveaux épisodes s’annoncent encore plus explosifs que les précédents. Trop cool ! Mais ce n’est pas tout, Prime Video semble vouloir continuer sur cette lancée. Ainsi, Harry Style s’apprête lui aussi à débarquer sur la plateforme. MCE TV vous en dit plus ! Prime Video tease son film avec Harry Styles et Emma Corrin My Policeman» ! Harry Style arrive dans My Policeman Ce n’est un secret pour personne, Harry Style a fait du chemin depuis ses débuts dans les One Direction. Si l’artiste ne regrette pas du tout cette expérience de boys band, il a pourtant décidé de tourner la page. Ainsi, il se retrouve aujourd’hui à la tête de My Policeman » sur Prime Video. Pour ce nouveau film, Prime Video a décidé de mettre les petits plats dans les grands. Ainsi, un casting fait sur mesure a été mobilisé. En effet, les abonnés de la plateforme pourront retrouver Harry Styles, Emma Corrin, Gina McKee, Linus Roache, David Dawson mais aussi Rupert Everett. Eh oui, rien que ça ! En réalité, ce nouveau film se base sur le livre de Bethan Roberts et retrace l’histoire de trois personnages plongés dans la Grande-Bretagne des années 50. Tom, Marion et Patrick vont vivre un voyage riche en émotions marqué par une histoire d’amour interdite selon les conventions sociales. Une fois dans les années 90, les trois nouveaux héros de Prime Video auront une dernière chance de réparer les pots cassés du passé. Alors qu’ils semblent encore nourris par les regrets et l’amour, ces derniers s’apprêtent une nouvelle fois à vivre une grande histoire. Ce nouveau projet Prime Video s’annonce donc très prometteur. Il faut dire que l’équipe à l’origine du film semble faite sur mesure. À la réalisation s’impose, Michael Grandage, au scénario, Ron Nyswanner et à la production, Greg Berlanti, Sarah Schechter, Robbie Rogers, Cora Palfrey et Philip Herd. Une chose est sûre, My Policeman va faire beaucoup de bruit sur Prime Video. Rendez-vous le 4 novembre 2022. Affaire à suivre donc. Credit photos Prime Video

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